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3/4 CP/M Plus : définitions, rappels et utilisations - I. Entrées/Sorties sur disqueCoding Classeurs Weka
DIR

Listage du répertoire des fichiers d'une disquette. S'utilise de deux manières : avec ou sans options. Les arguments de cette commande peuvent être :

  • Aucun : Donne la liste de tous les fichiers de l'unité et de l'USER par défaut.
  • Lettre du lecteur : Exemple « DIR A: » donne la liste de tous les fichiers de l'unité spécifiée sous l'USER courant ët retourne sous le prompt courant.
  • Utilisation du « jocker » possible :
Par exemple :

DIR* .BAS Affiche tous les fichiers d'extension « * .BAS ».

DIR D.* Affiche tous les fichiers de nom « D » et d'extension quelconque.

DIR D*.* Affiche tous les fichiers de nom commençant par « D » et d'extension quelconque.

  • Utilisation du signe « ?» :
Le signe « ? » remplace un caractère alphanumérique quelconque.

La recherche est faite sans considérer ce caractère, mais en tenant compte du fait qu'il occupe une place.

Exemples :

DIR SET?ST.COM donnera tous les programmes de 6 lettres commençant par « SET », finissant par« ST » et d'extension « .COM », en l'occurrence « SETLST.COM » sur la disquette CP/M + face 1.

« ? » peut être combiné avec le jocker :

DIR S?T* .* donnera la liste des programmes dont la première lettre est « S », la troisième lettre est « T », de longueur quelconque et d'extension quelconque.

  • Utilisation d'options :
    • DIR (d:) [OPTIONS] ou
    • DIR (Fichier)(Fichier)... [OPTIONS]
Les options peuvent être les suivantes :
  • ATT : Affiche les attributs des fichiers (DIR, SYS, RO, RW)
  • DATE : Affiche la date et l'heure sur les fichiers datés
  • DIR : Affiche les fichiers d'extension « .DIR »
  • DRIVE = ALL : Affiche les fichiers de tous les lecteurs connectés
  • DRIVE=(A, 8, ...N): Affiche les fichiers des lecteurs spécifiés
  • DRIVE:d : Affiche les fichiers du lecteur spécifié
  • EXCLUDE : Affiche tous les fichiers sauf ceux spécifiés
  • FF : Envoie un saut de page (« form feed ») à l'imprimante
  • FULL : Affiche toutes les informations possédées sur les fichiers du lecteur courant
  • LENGTH = n : Un en-tête est inséré après chaque n lignes, n compris entre 5 et 65536.
  • MESSAGE : Affiche le nom des lecteurs et l'« USER » actif
  • NO SORT : Affiche les fichiers dans l'ordre trouvé sur le disque
  • RO : Affiche les fichiers à lecture seule
  • RW : Affiche les fichiers à lecture/écriture
  • SIZE : Affiche la taille des fichiers en KO (kilo-Octets)
  • SYS : Affiche les fichiers d'extension « .SYS »
  • USER = ALL : Affiche les fichiers de tous les « USER » du disque courant
  • USER-n : Affiche les fichiers de l'« USER » spécifié sur le disque courant
  • USER = (0/1.. 15) : Affiche les fichiers des « USERs » spécifiés sur le disque courant.
DIRS ou DIRSYS

Affiche le répertoire des fichiers d'une disquette possédant l'extension « .SYS ». Cet ordre est équivalent à « DIR*.SYS ». DIRS peut être utilisé comme les jockers et « ? ». Par exemple, « DIRS B* » listera l'ensemble des fichiers dont le nom commence par « B » et d'extension « .SYS ».

ERA ou ERASE

Permet d'effacer un fichier ou un ensemble de fichiers stocké(s) sur disque. Cette commande supporte les jockers et les « ? », mais la commande « ERA *. * », qui va détruire tous les fichiers de la disquette, demande deux confirmations avant d'être exécutée : la première qui est générale à l'utilisation du jocker, (« ERASE (Y/N) ») et ia seconde qui est particulière à l'utilisation du double jocker (« Confirm delete all user files (Y/N) ?»).

Remarques :

a) Les fichiers protégés (à lecture seule : voir commande « SET ») ne sont pas effacés. Si vous tentez d'effacer un fichier d'attribut « RO » (lecture seule), le message suivant apparaîtra : « Fichier.ext Not erased, Read Only » et la commande « ERA » sera avortée.

b) Si vous demandez d'effacer un fichier ou un groupe de fichiers qui n'existe pas, le message suivant sera affiché « No file » et la commande « ERA » sera avortée.

c) L'utilisation du joker tant pour le nom que pour l'extension provoquera l'affichage d'un message de confirmation :

Exemple : « ERA* .COM » provoquera l'affichage de « ERASE * .COM-(Y/N) », et « ERA DATE.* » provoquera l'affichage de« ERASE DATE.* (Y/N) ». "

d) Si vous tentez d'effacer un fichier ou un groupe de fichiers alors que le disque n'est pas prêt (cordon d'alimentation débranché, disquette sortie) ou hors service, un bip sonore signalera le problème, et un message défilera sur la 25e ligne de l'écran : * drive not ready - Retry, Ignore or Cancel ? ».

Les options « Retry » et « Ignore » essayeront d'accéder à nouveau à la disquette, alors que l'option « Cancel » affichera le message d'erreur « CP/M error on A: Disk t/O » « BDOS Function = 20 File = ERASE .COM » et l'accès disque ne sera pas réitéré.

INITDIR

« Marque » une disquette pour que les créations, accès ou mises à jour de fichiers soient datés sur le directory.

Remarques :

a ) Les fichiers datés sont listables par plusieurs options de la commande « DIR ». Pour plus de détails, reportez-vous à cette commande (voir p. 5).

b) INITDIR s'utilise avec les commandes « SET[CREATE = ON/OFF] », « SETtACCESS = ON/OFF] » et « SET[UPDATE = ON/OFF] ».

Reportez-vous à ces commandes pour avoir plus de détails (voir p. 17).

Exemples d'utilisation :

Si vous tentez d'affecter « CREATE = ON », « ACCESS = ON» ou « UPDATE = ON » à la commande « SET » sans que « INITDIR » ait été fait, vous obtiendrez le message suivant :

set [update = on]

ERROR : Directory needs to be re-formatted for time/date stamps.

(ERREUR : le répertoire doit ôtre reformaté pour pouvoir y inclure les informations d'heure et de date.)

Please see INITDIR,
(reportez-vous à INITDIR)

Pour valider les options de marquage, tapez :

A > inStdir a:

INITDIR WILL ACTIVATE TIME STAMPS FOR SPECIFIED DRIVE.
(INITDIR va valider les informations relatives aux fichiers sur le disque spécifié.)

1 ) Chaque message apparaissant à l'écran est traduit en français.

Do you want to re-format the directory on drive : A (Y/N) ? y
(Voulez-vous reformater le répertoire sur le disque A)

Pour valider (par exemple) l'ecriture de la date à chaque remise à jour des fichiers disques, tapez :

A>set[update = on]

Label for drive A:
(étiquette)
Directory
(répertoire)		Passwds
(mot de passe)		Stamp
(marque de création)		Stamp
(marque d'accès)		Stamp
(marque de mise à jour)
LabelReqdCreateAccessUpdate
A:LABELoffoffoffon

La demande de l'option [DATE] sur un « DIR » produira l'en-tête suivant :

a>dir[date]

Scanning Directory...
(Répertoire en cours de balayage)

Sorting Directory...
(Répertoire en cours de tri)

Directory For Drive A: User 0
(Répertoire du disque A : Utilisateur 0)

Name
(Nom)		Bytes
(Octets)		Recs
(Enregistrement)		Attributes
(Attributs)		Prot
(Protection)		Update
(Mise à jour)		Create
(Création)

Il est également possible d'effacer les attributs « UPDATE » et « CREATE » des fichiers du disque en faisant :

A> initdir a:

INITDIR WILL ACTIVATE TIME STAMPS FOR SPECIFIED DRIVE. Do you want to re-format the directory on drive: A (Y/N) ? y
Directory already re-formatted.

Do you want to recover time/date directory space (Y/N) ? n Do you want the existing time stamps cleared (Y/N) ? y
(Voulez-vous effacer les marquages existants ?)

Pour dévalider l'affichage des options de marquage, tapez :

INITDIR WILL ACTIVATE TIME STAMPS FOR SPECIFIED DRIVE. Do you want to re-format the directory on drive: A (Y/N) ? y

Directory already re-formatted.
(Répertoire déjà reformaté)

Do you want to recover time/date directory space (Y/N) ? y
(Voulez-vous conserver les anciens marquages ?)

La demande de l'option « DATE » sur un « DIR » produira alors :

A>dir[date]
Scanning Directory... Sorting Directory...

ERROR : Date and Time Stamping Inactive
(Marquages de date et heure inactifs)

Enfin, si vous oubliez de spécifier le nom du lecteur sur lequel vous voulez faire l'« INITDIR », le message suivant apparaîtra :

initdir
ERROR: Unrecognized drive

(lecteur inconnu)

DRIVE: A
Enter Driver: a
(Nom du lecteur)

PIP

Peripheral Interchange Program = Programme d'échange entre périphériques.

  • Format PIP [< drive>:]< Destination> =[< drive:>] < Source >
    où PIP < Destination > est un nom de fichier ou un organe de sortie tel que CONsole, AUXiliaire ou LST (imprimante).
    < Source > est un nom de fichier ou un organe d'entrée tel que CONsole, AUXiliaire ou EOF (marque la fin d'un fichier).
  • Utilisation PIP B: = A:*.* copie tous les fichiers de A: sur B:
    • PIP B: = A: MOVCPM.COM copie le fichier MOVCPM de A: sur 8:
    • PIP TOTAL.ASM = PA1 .ASM,PA2.ASM,B:PA3.ASM concatène les fichiers PA1, PA2 et PA3 qui se trouve sur B: dans le fichier TOTAL.ASM qui sera stocké sur A:
    • PIP LST: = PROG.ASM copie le fichier PROG.ASM sur l'imprimante.
    • PIP CON: = PROG.ASM copie le fichier PROG.ASM sur l'écran.
    • PIP PROFILE.SUB = CON : fabrique le fichier PROFILE.SUB à partir d'une saisie au clavier. Pour passer à la ligne, il faudra taper « CTRL + J ». Quand la saisie sera terminée, tapez « CTRL + Z ».
Remarques :

a) La commande « PIP » s'utilise de deux manières différentes :

  • En direct comme nous venons de le voir, en tapant « PIP ». Les fichiers disque manipulés doivent être présents sur la ou les disquettes spécifiées.
  • En chargeant « PIP » en zone TPA (Transcient Program Area) : (voir chap. 3 de cette partie pour plus de détails). Pour cela, tapez « PIP ».
Un astérisque apparaît pour signaler que PIP est en mémoire et attend vos instructions. Ce procédé a pour avantage de permettre un changement de disquette courante. En effet, le programme que l'on désire transférer ne se trouve par forcément sur la disquette système où réside la commande « PIP ».

Pour sortir de l'utilitaire PIP, tapez derrière le « * ».

b) La phase de copie peut être interrompue à tout moment en appuyant sur une touche quelconque du clavier. De même, s'il se produit une erreur pendant le transfert, la commande PIP sera annulée, et un prompt indiquera que l'on est revenu sur l'unité par défaut.

Les options suivantes peuvent être employées avec PIP :

  • A : Archive : Copie uniquement les fichiers dont au moins un octet a changé depuis la dernière sauvegarde.
  • C : Confirm : Demande la confirmation pour chaque fichier copie.
  • Dn : Efface tous les caractères occupant une colonne > n.
  • E : Echo transféré à la visu.
  • F : Efface les « form feed » du fichier copie ; utile pour éviter les pertes de papier lorsque la sortie se fait sur imprimante,
  • Gn : Utilisation d'un USER différent de l'USER courant.
  • K : Interdiction des commentaires à la visu.
  • L : Met en minuscules les caractères du fichier manipulé.
  • N : Numérote les lignes du fichier transféré.
  • Pn : Longueur de la page : n lignes.
  • Qs^Z Arrête la copie sur le caractère « s ».
  • R : Lit les fichiers d'extension « .SYS ».
  • Ss^Z Commence la copie à partir du caractère « s ».
  • Tn : Les tabulations sont étendues à n espaces.
  • U : Met en majuscules les caractères du fichier manipulé.
  • V : Vérification de la sauvegarde.
  • W : Permet d'écrire sur un fichier protégé sans qu'une confirmation soit demandée.
  • Z : Les caractères copies ont leur bit du parité à 0.
Exemple :

PIP SET. COM[g3]: = SET.COM copie le fichier « SET.COM » présent sur l'USER 0 sur l'USER 3 en lui donnant le même nom.

REN ou RENAME

  • Format REN < Ancien nom> = < Nouveau nom>
Cette commande permet de changer le nom d'un fichier ou d'un groupe de fichiers existant sur disque. Les jokers et « ? » sont autorisés dans le préfixe. Par exemple, « REN $ .TY1 = $ .TY2 » qui renommera tous les fichiers d'extension « .TY2 » en « .TY1 ».

Si le fichier à renommer n'existe pas, le message « Not found » sera affiché. De même, si le nouveau nom correspond à un fichier déjà présent sur la disquette, le message « File exists » sera affiché.

Remarques :

a) Un programme peut être protégé contre le changement de nom s'il possède l'attribut adéquat (RO= Read Only). Le message suivant apparaîtra alors : « Bdos Error A : File R/O » et le fichier ne sera pas renommé. Reportez-vous à l'ordre « SET » pour modifier l'attribut d'un fichier.

b) RENAME peut être utilisé de deux manières différentes :

  • En direct comme nous venons de le voir en tapant REN = . Le fichier manipulé doit être présent sur la disquette où se trouve RENAME.
  • En chargeant RENAME en TPA (Transcient Program Area : voir définitions et rappels, (Partie 3, chap. 3). Pour cela, tapez « RENAME » ou « REN ». Mettez la disquette qui contient le fichier à manipuler et répondez aux questions posées. Par exemple, si vous voulez modifier le nom du programme « SET.COM » en « SETT.COM », tapez :

A > rename
Enter New Name: sett.com
(Entrez le nouveau nom)

Enter Old Name: set.com
(Entrez l'ancien nom)

Cette commande est équivalente à la suivante si « SET.COM » est sur la même disquette que « RENAME » :

A>rename sett.com = set. com

c) La désignation d'un fichier qui n'est pas présent sur la disquette provoquera l'apparition du message « Error : No such file to rename » et l'abandon du RENAME.

SET

Modification des attributs d'un fichier.

La commande SET peut utiliser les extensions suivantes :

  • SET[ATTRIBUTES]
  • SET[PASSWORD]
  • SET[DEFAULT]
  • SET[TIME-STAMPS]
  • SET[DRIVES]
  • SET[ ATTRIBUTES]
Les attributs peuvent être :
  • RO : Lecture seule permise,
  • RW : Lecture et écriture permises,
  • SYS : Force l'extension à « .SYS »,
  • DIR : Force le fichier à être listable par la commande « DIR »,
  • ARCHIVE = ON/OFF : Voir l'ordre « PIP »,
  • F1 à F4 = ON/OFF : Valide ou dévalide l'attribut de fichier utilisateur F1 à F4.
SET[PASSWORD] Les options sont les suivantes :

SET[PROTECT = ON/OFF] permet l'activation des options de protection pour tous les fichiers disque

A > set[access=on]
Label for drive A:
Directory
Label		Passwds
Reqd		Stamp
Create		Stamp
Access		Stamp
Update
A: LABELoffoffonoff

SET Nom Fichier[PASSWORD = Mot de passe]
Par exemple SET * ,COM[PASSWORD = PCOM] assigne le mot de passe « PCOM » à tous les fichiers d'extension « .COM ».

SET Nom Fichier[PROTECT = READ]
Un mot de passe sera demandé pour lire, écrire, copier, effacer ou renommer un tel fichier.

SET Nom Fichier[PROTECT = WRITE]
Un mot de passe sera demandé pour écrire, effacer ou renommer un tel fichier.

SET Nom Fichier[PROTECT = DELETE]
Un mot de passe sera demandé pour effacer ou renommer un tel fichier.

SET Nom Fichier[PROTECT= NONE]
Aucun mot de passe n'est nécessaire. Si un mot de passe a été créé par une précédente option « SET », cet ordre le détruit.

SET[DEFAULT= dd]
Demande à l'ordinateur d'utiliser le mot de passe « dd » par défaut si aucun mot de passe n'est entré lors de l'accès (lecture, écriture, copie, effacement et renomme) à un fichier.

Exemple :

A > set[default = secret]

Default password = SECRET
(Mot de passe par défaut)

SET[TIME-STAMPS] Les options possibles sont les suivantes :
  • SET[CREATE = ON] : A la création d'un fichier, la date sera enregistrée et apparaîtra si vous demandez un « DIR[FULL] ».
  • SET[ACCESS = ON] : Après chaque accès à un fichier, la date sera enregistrée et apparaîtra si vous demandez un « DIR[FULL] ».
  • SET[UPDATE = ON] : A chaque mise à jour d'un fichier, la date sera
  • enregistrée et apparaîtra si vous demandez un « DIR[FULL] ».
Exemple :

La demande de prise ên compte de attribut « ACCESS » se fait comme suit :

A> set[access = on]
Label for drive A:

Directory
Label		Passwds
Reqd		Stamp
Create		Stamp
Access		Stamp
Update
A:LABELoffoffonoff

  • Utilisation : SET[DRIVES3 SET d:[RO] donne une protection logique au disque et empêche toute écriture dessus.

set a: [ro]

Drive A: set to Read onty (RO)
(Lecteur A positionné en lecture seule).

Si vous essayez d'écrire sur le disque (par exemple, par « RENAME »), le message suivant apparaîtra :

A> rename sett.com = set.com

ERROR: Drive read only.
(Lecture seule autorisée)

SET d:[RW] autorise lecture et écriture sur disque. A>set a: [rw]

Drive A: set to Read Write (RW)
(Lecteur A positionné en lecture/écriture)

SHOW
  • Format: SHOW (d:) ([SPACE:LABEL:USERS:DIR:DRIVE]) donne les informations suivantes sur le disque :
    • Mode d'accès (RO ou RW) et espace libre sur le disque,
    • Label du disque,
    • « USER » courant,
    • Nombre de fichiers existant pour chaque « USER »,
    • Nombre de directories libres sur le disque, Caractéristiques du disque.
Les options sont les suivantes :
  • SHOW
  • ou SHOW [SPACE] Donne l'espace libre et le mode d'accès aux drives loggés.

A > show

A: RW, Space: 23k
(Espace restant sur le disque A d'attribut lecture/écriture)

  • SHOW[B:] Identique à SHOW mais sur le drive B: seulement.
  • SHOW[A:LABEL] Donne le label du drive A:

A>show[label]

Label for drive A:

Directory
Label		Passwds
Reqd		Stamp
Create		Stamp
Update		Label CreatedLabel Updated
LABELoffonoff12/15/82 00:0212/15/82 00:03

SHOW[USER] Donne le numéro d'« USER » courant, tous les « USERs » utilisés sur le lecteur A: et le nombre de fichiers assignés à chaque fichier.

A>show[user] A: Active User : 0
(Utilisateur actif)

A: Active Files : 0
(Fichiers actifs)

A: # of files : 28 ;
(Nombre de fichiers)

A: Number of time/date directory entries : 16
(Nombre de marques sur le répertoire)

A: Number of free directory entries : 18
(Nombre de places libres dans le répertoire)

SHOW[DIR] : Nombre de directories libres sur le disque.

A>show[dir]

A: Number of time/date directory entries : 16 A: Number of free directory entries : 18

SHOW[DRIVE] : Donne les caractéristiques du drive A: A>show[drive] A: Drive Charascteristics
(Caractéristiques du lecteur)

1,368: 128 Byte Record Capach
(128 octets par enregistrement)

171: Kilobyte Drive Capacity
(171 kilo-octets sur le lecteur A)

64: 32 Byte Directory Entries
(64 x 32 octets d'entrée)

64: Checked Directory Entries
(64 entrées vérifiées)

128: Records / Directory Entry
( 128 enregistrements par entrée)

8: Records / Block
(8 enregistrements par bloc)

36: Sectors / Track
(36 secteurs par piste)

2: Reserved Tracks
(2 pistes réservées)

512: Bytes / Physical Record
(512 octets par enregistrement physique)

USER

Changement de zone utilisateur avec n compris entre 0 et 15. Permet d'affecter sur un même disque des zones de stockage indépendantes pour la commande « DIR » et les diverses commandes d'entrée/sortie disque.

Exemple d'utilisation :

« USER 3 » fera passer l'utilisateur en zone 3. Le nouveau prompt de CP/M + sera « 3A> ».

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L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent  du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko.