★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ PREDATOR 1 (c) ACTIVISION ★ |
A100% | AMMAG |
Aujourd'hui, je ne vous serre pas la main, j'viens de serrer celle d'Arnold Schwarzanamachin et je ne vous raconte pas l'état de mes doigts. Vous voyez qui c'est, même si je n'arrive toujours pas à prononcer correctement son nom, Arnold alias Ernie est de plus en plus célèbre et cette fois, ça y est, il débarque sur nos micros.
BONJOUR Ex-monsieur Univers, ex-gros las de muscles pas très intelligent, Arnold Schw... Swagenze... Svarzai... Enfin Arnold quoi M Arnold est donc quelqu'un qui a réussi brillamment sa reconversion sociale. Après la bête d'exhibition de muscles, genre monstre de foire (j'exagère un peu, mais c'est parce que le body building je trouve cela un peu ... , enfin, un peu con quoi), il devient une bète médiatique et ça lui réussit bigrement, le bougre !! L Bin oui, Sined me rappelle subrepticement que | c'est tout de même Ernie qui campe le rôle, on ne peur plus célèbre, de Conan le barbare, dans ce film qui fut en fait une véritable révélation pour notre barbare de service (et encore plus lorsqu'il découvrit Barbarian, mais ça c'est une autre histoire). Personnellement, j'avais beaucoup apprécié Terminator où il campait le rôle d'un robot tueur plus vrai que nature !! BONJOUR Puis on a vu notre Ernie Discale (à défaut d'être national) dans Commando, mais ce n'était pas l'adaptation cinématographique du jeu de Elite, quoique... Parce que c'est moins idiot, moins prétentieux, moins premier degré, moins american way of lîfe que toute la production stallonienne, on se surprend à aimer le style Svame ... Chouar ... Szagen... Enfin le style d'Arnold quoi !! Et puis après tout, si nous le retrouvons maintenant sur nos micros, c'est qu'il est entré au panthéon des héros patriotes (tiens ? jl ai déjà faite celle-là !). Dans son dernier film, PREDATOR, Arnold joue un peu plus avec sa tête, mais toujours autant avec ses muscles (faut pas déconner quand même). BONJOUR MONSIEUR PREDATOR Plutôt que de vous parler de PREDATOR, le film. je vais vous parler de PREDATOR. le jeu. Je vous fais remarquer au passage qu'il s'agit encore d'un jeu dont le scénario est issu d'un film, ça commence à manquer d'originalité. Vous comprendrez notre engouement pour un jeu comme Tetris ... Ici. nous dirigeons Arnold Sjar ... Shouir ... War-teng ... Enfin Arnold quoi !! Nous le dirigeons dans un décor sud-américain, genre savane, jungle inextricable ... Le jeu ressemble d'ailleurs à la première partie de Gryzor. Le scrolling horizontal amène ses floppées de méchants soldats à descendre le plus rapidement possible, normal c'est des guérilleros méchants. Par chance, les décors sont assez variés, parce que le scrolling ne fait pas partie des plus rapides que j'ai vus sur CPC (bientôt une oldies sur Tornado Low Level). Vous disposez, au départ, de trois grenades et de munitions qui s'épuiseront très vite. A vous d'en récupérer sur tes cadavres épars (comme c'est beau) : vous pourrez aussi changer d'arme de la même manière. C'esl là que l'on remarque une originalité dans le mouvement du personnage : en jouant des diagonales avec le joystick, Emie se déplace en 3D. Pas mal. Et puis, soudain, l'écran devient bleu, vous êtes alors dans le collimateur du PREDATOR (musique angoissante !!). voilà qui corse le jeu. Au moment où j'écris l'article, je n'ai pas eu le temps d'explorer encore bien à fond l'univers de PREDATOR, le terrain de jeu à l'air grand... L'ultime scène doit être très intéressante, ceux qui ont vu le film savent pourquoi. En ce qui me concerne, je lui reproche un air de déjà vu (au jeu. pas à l'ultime scène). A BIENTOT MONSIEUR RUNNING MAN ? Dites, messieurs de Activision, vous allez aussi nous faire une adaptation de Running Man, le dernier film de Arnold Scvhwouar...? Robby qui avait un chewing-gum dans la bouche. PREDATOR, d'Activision Test de Robby , A100% n°3, p51 |
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Page créée en 200 millisecondes et consultée 4944 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |