Après Sylvesfer Slatone, Arnold Schwarzenegger et son Predator nous viennent à l'esprit. Là encore, nous avons affaire à une partie de tchac-tchac-poum-poum. Des ennemis en veux-tu en voilà en pagaille ! On ne sait pas d'où ils sortent ni où ils vont, mais enfin ils sont devant nous et il faut bien les éliminer Nous sommes ici pour ça. Le scrolling vertical est assez moyen ; il tressaute légèrement Ah, oui, j'allais oublier : Predator est sensiblement plus macabre que ses concurrents. Les décors du premier tableau sont peuplés d'humains nus pendus aux arbres soit par le cou soit par les pieds. Beurk, on se croirait dans un mauvais Apocalypse Now ! AM-MAG |