| ★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ L'AIGLE D'OR LE RETOUR (c) LORICIEL ★ |
| A100% | TILT |
Ça devait arriver. Quand un jeu est un succès, il ne faut par attendre longtemps pour en voir la suite. Loriciel est pour sûr l'exception qui confirme la règle car premièrement l'Aigle d'or n'était pas un hit, deuxièmement, ce second volet à mis longtemps à voir le jour. Non, non, ce ne sont pas des reproches mais l'évidence même. M'enfin voici un nouveau jeu qui franchement n'a aucun rapport avec son grand frère: donc faisons une fois pour toutes un trait sur ce dernier. UNE LEGENDE Dans notre légende, ce joli monde croyait en l'aigle d'or. Une statuette mythique composée d'une matière inconnue sur la planète. .Ils se battaient tous pour l'avoir. Ainsi se sentiraientils plus proches des habitants de l'au-delà.
VOUS ETES UN HEROS Sachez que vous n'avez pas le choix, car lors de la dernière attaque de Nahmur, il vous a enlevé et vous a réduit au rang d'esclave. Alors de deux choses l'une. Soit vous continuez à prendre des coups de fouets à longueur de journée, soit vous vous rebellez et décidez de rendre la monnaie de sa pièce à l'affreux. LES BORNES Sur votre parcours vous pourrez vous arrêter devant des bornes. Un menu apparaît alors et vous proposera six choix. Vous pourrez: demander des nouvelles de la cité, jeter un œil sur les plans de la ville (pour mieux vous repérer), jouer à l'othello, faire des opérations de sauvegarde ou de chargement, lire des messages ou entrer en contact direct avec des personnages de la base. Les boîtes aux lettres sont importantes car elles vous renseignent sur l'évolution de l'ensemble de la cité. Il va de soi qu'il faudra éplucher les informations afin d'en tirer le maximum de renseignements. ET LES COFFRES Il vous faudra jouer les Arsène Lupin à l'approche d'un des coffres. A. savoir, obtenir la combinaison qui. ouvrira ce dernier. Une combinaison est composée de cinq chiffres. Il va de soit qu'un coffre peut contenir un bout de la statuette, mais également être vide. A vous les porte-bonheur et autres gadgets vous évitant de perdre de nombreuses et précieuses minutes. Le jeu est en mode zéro (choix judicieux car plein de couleurs à l'écran). Contrairement à ce qu'annonce la jaquette, nous ne sommes pas en face d'un soft révolutionnaire. UN AVIS DE SPECIAUSTE ? Nous sommes en face d'un jeu étrange. Le scénario est bon, les graphismes sont sympa, l'animation aussi. L'ensemble paraît tenir la route mais... Il manque un petit quelque chose pour que l'on reste accro devant son CPC. Cela vient de la monotonie des actions. Ce jeu aurait dû être géré comme un jeu d'aventure et il tient en fait plus de l'arcade/aventure. Il n'empêche que les fans de l'Aigle d'or premier du nom trouveront leur compte, . même si le retour n'a plus grand chose à voir avec ce premier chapitre. Graphisme : 88% Test par Poum, A100% n°42 FEV/MAR 92 |
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Page créée en 277 millisecondes et consultée 6107 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
