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THOMAS HAWK EST PALE Digital Intégration récidive avec les simulateurs de vol. Après Fighter Pilot (qui ne valait pas grand-chose, avouons-le sans honte (vous comprendrez plus tard le bien fondé de cette remarque)), voici Tomahawk. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, eu égard à la mode actuelle, vous ne pilotez pas le dernier super-chasseur-bombardier à vingt millions de dollars, mais un pauvre petit hélicoptère tout merdique, tout poussif, bref tout nul. Après chargement, on a le sacro-saint menu : vol d'entraînement, combat, vol de jour et de nuit et par temps clair ou orageux. On ne va pas y aller par quatre chemins : les graphismes, bien que très détaillés, sont mauvais. C'est surtout à cause de tous ces détails qu'ils sont aussi nuls : tout s'enchevêtre sans arrêt, et on finit par ne plus pouvoir distinguer quoi que ce soit. A signaler un petit bug graphique visible lorsque l'hélico est encore au sol : si on regarde bien le coin haut/gauche de l'écran, on arrive à distinguer un trait d'une importance non négligeable et qui n'a rien à foutre ici (NDLR : si il avait quekchose à foutre là, ce ne serait pas un bug, cong !), et qui clignote gaiement du jaune au bleu, en passant par le bleu et le jaune. Côté son aussi, le réalisme a été poussé très loin : on pilote un vieil hélico pourrave, donc on entend le rotor d'un vieil hélico pourrave, c'est normal. ( Hein ? Que je relise quoi ? La doc ? Ah ben oui, tiens, on pilote pas un hélicoptère merdique mais un super-extraordinaire Tomahawk, le plus récent des modèles de l'armée de Her Majesty The Queen. Zut, n'aurais-je donc dit que des conneries tout au long de cet article ? Ben, en ce qui concerne la machine, oui; pour le reste, par contre, j'ai tout bon. Mais reprenons.). Comme je le disais tantôt, le son est nul. Ah, j'allais oublier : le programme est protégé par le merdissime Lenslock. C'est déjà un bon argument pour ne pas l'acheter, non ? Tomahawk de Digital Intégration pour Amstrad. Hebdogiciel |
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Page créée en 788 millisecondes et consultée 9395 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |