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Ce mois-ci, il n'y a pas un, mais des logiciels du mois. Deux produits de Loriciels qui nous a envoyé ces merveilles, dont BACTRON, alors que nous finissions de mettre sous plume le deuxième numéro d'AMSTAR. On a tout déchiré, tout recommencé, afin de vous faire profiter de notre engouement. Décidemment, la rentrée s'annonce chaude chez Loriciels. Ecoutez ! Non, mais écoutez bien ! Vous n'entendez pas ? Pourtant, parmi les hurlements et les bruits de la ville, on distingue clairement le sifflement du Bactron, plus spécialement lorsque la nuit tombe. Est-ce un cri d'amour ou de détresse, nul ne le sait. Ces êtres bizarres sont encore méconnus, pourtant certains scientifiques ont reconnu leur immense importance dans l'écosystème Amstradeuzionique primaire. Afin d'en savoir plus, nous avons envoyé un de nos reporters : Lepoivredabord. A vrai dire, pour une fois, ce n'est pas le journaliste qui nous intéresse mais son corps, son intérieur, ses tripes si vous préférez !
Le pauvre, il est atteint d'un mal étrange, et seuls les Bactrons peuvent le sauver. Ils sont dans son corps et ils combattent avec courage les virus depuis sa naissance (en plus, il est tout le temps malade). Mais cette fois-ci la menace est sérieuse : ils ne peuvent agir seuls, votre aide est nécessaire, courage ! Prenez le joystick à deux mains et foncez, c'est la seule solution. Mais attention, n'agissez pas bêtement, sinon vos trois Bactrons mourront sans avoir pu enrayer la maladie qui ronge le pauvre (sauf au point de vue financier) journaliste. Il faut soigneusement étudier, observer les différentes bactéries qui sont les origines du mal. Méthode et détermination seront vos seules chances de victoire. Désormais, vous pouvez ranger les Pac-men dans leurs boîtes à chaussures, les Qberts au réfrigérateur et autres Space-Invaders, un nouveau standard est né : Le Bactron. Une musique d'intro d'enfer, un graphisme délirant et génial, une animation réussie, autant d'atouts dans le jtu de ce nouveau logiciel.
Sous son aspect sympathique, il cache en fait une fantastique aventure au cœur de l'organisme, qui est loin d'être évidente. Les mouvements répondent bien au manche à balais (pour une fois), et en plus le petit personnage peut faire bouger différents objets pour emprisonner tel ou tel virus. Heureusement, il n'est pas seul et, en réveillant des anticorps, il pourra se revitaliser car il reste fragile dans ce milieu devenu hostile. Vraiment, il faut l'avoir vu pour y croire. Il m'a fallu quarante-huit heures pour m'en remettre, à vrai dire, j'ai encore mal aux poignets. Mais, les auteurs (ou Loriciels, je ne sais pas) n'ont pas arrêté le vice là. Leur scénario est en béton et leur présentation est loin d'être idiote, ils fournissent même un badge ! C'est tout ! Je me demande encore ce que je pourrais vous dire, pour vous convaincre que Bactron est le jeu qu'il faut absolument posséder. Génial, super, marrant, bien foutu, bref, il a tous les vices possibles, ce logiciel ! Et dire que Monsieur Loriciels m'a dit dans le coin de l'oreille que sa société n'allait sûrement pas s'arrêter là. Il espère sans doute monopoliser la rubrique du logiciel du mois ! AMSTAR n°2 |
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Page créée en 083 millisecondes et consultée 8917 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |