| ★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ ALIENS: THE COMPUTER GAME (c) ELECTRIC DREAMS/ACTIVISION ★ |
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ArcadeAliens, voyons..., ce titre me dit quelque chose. Ne serait-ce pas un film de James Cameron ? Bon sang ! Mais c'est bien sûr, il s'agit de la suite du fabuleux Alien (sans "s") réalisé lui, par le célèbre Ridley Scott. Electric Dreams propose donc une adaptation informatique du très mouvementé Aliens.
Le prologue promet déjà : un lent scrolling vertical dévoile le titre dans un silence angoissant. A l'apparition du tableau de bord, c'est une musique rythmée et futuriste qui vous attend. Vous vous trouvez alors à l'entrée de la base, bien à l'abri dans votre MTOB. (Il s'agit d'un engin blindé). A l'extérieur dans la pièce n°1, vos personnages attendent vos ordres. L'équipe est composée de Ripley , l'héroïne (Ah, Sigourney Weaver), Gorman le lieutenant nerveux, Hicks : le second héros de l'aventure, Bishop l'androide, Vasquez la mexicaine ravageuse et Burke le traitre complètement pourri par l'argent. Tous les membres du commando possèdent un smart-gun, (sorte de fusil-mitrailleur sophistiqué), un détecteur de vie non-humaine (glups !) et une caméra vidéo. Cette dernière vous permet de suivre les déplacements des personnages et de vivre l'action comme si vous y étiez. Le décor étant planté, vous voilà prêt à débarrasser la colonie de ces satanés Aliens. Tout d'abord, sélectionnez un des membres de l'équipe en appuyant sur une lettre ("R" pour Ripley, par exemple). Vous verrez alors le portrait de la personne désignée ainsi que son rythme cardiaque s'afficher mit votre tableau de bord. Grâce à la caméra, repérez les portes et en pointant votre viseur sur celles-ci ouvrez-les. Derrière peuvent aussi bien se cacher des couloirs vides que des Aliens menaçants. Si par hasard vous rencontrez une de ces charmantes bestioles n'hésitez pas à tirer plutôt que d'engager la conservation : votre vie en dépend ! Ce jeu possède d'autres éléments empruntés au film : les Aliens guerriers et les gardes (je n'ai pas eu le temps de faire la différence !), le sang acide, la petite fille survivante, Newt, et surtout la maman-alien de la salle 248. Je ne suis pas encore arrivé jusque là mais je suppose que son aspect sera identique à celui du film. Mis à part la musique assez angoissante, avec des chuintements et des crescendos, l'action n'est pas très rapide et on retrouve toujours le même graphisme pour les salles. AMSTAR n°7 |
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Page créée en 039 millisecondes et consultée 9709 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
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