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MAXAM SOUS TOUTES LES FORMESL'assembleur Maxam est disponible sur cassette, sur disquette ou sur cartouche de mémoire morte (Eprom). Au choix.
Depuis le Basic, on accède à l'assembleur Maxam par la commande |ASSEMBLE. Il transforme alors le code source écrit dans les lignes de Basic commençant par des apostrophes en code objet. Pour les débutants, c'est là une qualité essentielle. En plus de l'éditeur du Basic, Maxam possède le sien propre. On peut y écrire du Basic, une lettre ou un programme source. Très puissant et très facile d'emploi, pleine page, cet éditeur surprend agréablement. Il ressemble à l'éditeur Logo, en mieux. La définition de blocs permet la copie, le transfert, la suppression de parties du texte, mais aussi l'insertion de fichiers (en ASCII) depuis la disquette ou la cassette. La plus étonnante des commandes, MODIFY TEXT (ou MODIFY BLOCK), ajoute ou enlève des numéros de lignes au texte ainsi que des apostrophes. Elle prépare donc un programme lisible en Basic dans l'éditeur.
Les codes sources sont assemblés par la commande A. JUMP permet l'essai du code objet depuis l'éditeur. Il fera le bonheur de beaucoup d'amateurs de langage machine... |ASSEMBLE:'LD A,"?" :JP &BB5A:RET Trouver les bogues dans un programme est aisé : l'introduction de pauses force l'arrêt de l'exécution et affiche l'état des registres. Parmi les pseudo instructions, GET et PUT effectuent le passage de paramètres entre Basic et Assembleur, IF, IFNOT, ELSE, ENDIF autorisent l'assemblage conditionnel, READ lit les programmes sources sur disquette ou cassette et les assemble. WRITE sauvegarde les fichiers binaires : si le nom a l'extension .COM, un fichier CP/M est créé (condition : ORG &100). La documentation, en anglais, n est pas a la hauteur de Maxam. Ce logiciel n'étant pas distribué en France, on ne peut pas espérer une traduction plus claire. MAXAM GEORGES CONVERS, Microstrad n°6, Juillet/aout 1986 |
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