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Pauvre Trantor, il se trouve être le dernier Stormtrooper ( ou soldat d'assaut ). Abandonné par les siens sur une planète inconnue, avec pour seule arme un lance-flammes. Un seul lance-flammes ? Mais c'est bien trop peu. Comment survivre parmi un tel environnement avec un matériel aussi léger ? Ne paniquons pas : vous êtes tout de même endurci aux épreuves intergalactiques de survie en milieux extraterrestres. Donc, il n'y a apparemment pas de problèmes. Voilà : vous êtes rassuré maintenant, il ne s'agit après tout que d'une banale promenade dans un vaste complexe souterrain. Banale, certes, mais non dépourvue de dangers : le temps est limité : 90 secondes vous sont aimablement accordées pour achever votre mission. Cette dernière est en fait assez simple. Le labyrinthe ou plutôt la série de couloirs servant de décors cache en fait un complexe de sécurité qui s'est activé dès votre entrée (forcée) dans les galeries.
Votre but : retrouver les 8 terminaux dispersés à l'intérieur du complexe et recueillir les S lettres contenues à l'intérieur. Une fois les lettres retrouvées, il faut les placer dans un certain ordre pour obtenir un mot ayant un rapport avec l'informatique. Il ne vous reste plus qu'à trouver la centrale de sécurité où l'on vous donnera le code du faisceau de téléportation. Puis la plate-forme (de téléportation) vous ouvrira les bras, le code est entré : vous êtes sauvé. Mais pas si vite, la route est longue. Un exemple parmi tant d'autres : des « choses » volantes (et quelques fois rampantes) assaillent votre personne, vous ôtant une précieuse énergie vitale. Votre arme préférée n'a pas de réserve infinie en ce qui concerne le carburant. Heureusement, les coffres répartis le long des galeries contiennent parfois des objets utiles à votre progression par exemple, des réserves de carburant, de l'énergie ( c'est elle qui disparaît le plus rapidement ), des disquettes, des écrans de protection ( ils ont malheureusement une durée de vie très limitée ).
La présentation graphique du jeu est exceptionnelle : 3 écrans graphiques se succèdent ( c'est un peu trop long sur cassette ). La deuxième séquence montre votre arrivée à l'entrée du souterrain et la destruction de votre vaisseau, cela n'influence pas le cours du jeu mais it's terrific ! La taille des sprites est respectable ( pas besoin de loupe ! ) , le mouvement reste souple et délié. La musique n'est pas en reste et les bruitages sont bien adaptés. A propos de musique, les possesseurs de cassette sont avantagés puisque la face B comprend un morceau de rock du groupe « Résister ». C'est une bonne manière de faire la promotion d'une toute jeune maison d'édition. AMSTAR n°15, Nov/Dec87 |
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Page créée en 309 millisecondes et consultée 8255 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
