★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ PUFFY'S SAGA (c) UBI SOFT ★ |
A100% | Amstrad Action | MegaOcio | AMSTAR&CPC | GAMEMAG |
Je vous présente Puffy et Pufyn, deux boules de . poils qui évoquent de nombreux souvenirs. Déjà, ils ont la tronche de Pacman. Ils évoluent ensuite dans un univers parallèle à celui de Skweek. Enfin, Gauntlet semble la principale inspiration de cette saga qui nous plonge dans une nouvelle ère de jeux d'arcade sur CPC : les jeux référentiels, qui font saliver le joueur en lui rappelant de grands moments passés...Vous me direz, la pompe, c'est pas nouveau. L'homme a dû l'inventer à la naissance. Mais là, les références sont si explicites que l'on est proche de l'hommage pur et simple. D'ailleurs, même la musique a un petit air de celle de Ghostbusters. Bon, ces digressions philosophiques passées, plongeons-nous un peu plus profondément sur ce bâtard CPCien. LE VERDICT! Ben oui, papa Gauntlet et maman Skweek - ou est-ce l'inverse, quel est le sexe d'un octet? - sont penchés sur le berceau de leur enfant illégitime. Et ils rayonnent, fiers de leur rejeton, car vient de tomber le verdict fatal du cousin Cent Pour Cent, après de nombreuses heures de combat via joystick : PUFFY EST UN BON! UN BIEN BEAU BEBE, Puffy (ou Pufyn, selon le choix) se promène dans des pièces-labyrinthes, à la recherche de la pastille cachée permettant de passer au tableau suivant. Son énergie baisse à mesure que le temps s'écoule, mais des sortes de jambons à queues jaunes permettent de faire des petits pleins d'énergie fort sympathiques. Sur le tableau de score, les pertes (ou gains) d'énergie sont mimées par le visage du héros de la saga qui se décompose, tire la langue quand la fin approche, ou se transforme en tête de mort lorsqu'une adorable voix digitalisée annonce aù joueur en larmes: Game Over !
QUE PEUT FAIRE Evidemment, vous vous doutez bien que je ne m'extasie pas ainsi devant un jeu de course contre le temps et de digestion de rôtis. Oh, les mecs, passons au gros du sujet: les bastons. Car les terrains puffiens sont peuplés de vilains, dévorant goulûment l'énergie: fantômes rouges (les seuls que l'on peut descendre), dragons lanceurs de feu (superbement dessinés), bulles d'acide, serpents et yeux énervants. Face à cette armée de sup'méchants, les héros ont, eux, d'excellentes options on the road : lance-flammes, turbo, tirs divers, invisibilité, téléportation... Que la guerre commence ! BREF! Pas le temps de s'ennuyer dans cette saga. Quand je vous dirai que les tableaux sont presque aussi bien étudiés que ceux du divin Bumby, vous comprendrez aisément qu'Ubi Soft tient en PutTy un jeu d'enfer, futur hit, et surtout, qui n'est pas près d'arrêter de tourner sur vos CPC. En tout cas, le mien est d'ores et déjà squatté par deux petites boules de poils jaunes. Matt MURDOCK Graphisme : 82% Test par Matt Murdock, ACPC n°21 Decembre 89 |
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Page créée en 283 millisecondes et consultée 8106 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |