| ★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ MOT: EL JUEGO (c) OPERA SOFT ★ |
| A100% | Amstrad Sinclair Ocio | MICROMAG |
Délaissant mon CPC adoré, je me mets à regarder la télé. Quelle bêtise ! Mon tube cathodique, pris d'une subite indigestion, rend un monstre vert et ventru : un gros MOT J'allais en effet avoir du mal à lui apprendre la politesse.SURTOUT, ETRE DISCRET...
Règle difficile à respecter. MOT saute en l'air en faisant trembler le sol. cherche constamment à se goinfrer, casse tout ne respecte rien... Au début, MOT me suit, modérant ses carnages, "visiter" les étages de la maison. Hélas, mes parents ont la mauvaise habitude d'habiter la maison de leur fils. A la vue du monstre, ma mère s'évanouit et le pater se fâche tout rouge : il faut que je fasse sortir MOT par la porte spatio-temporelle, dans le grenier... Ça n'allait pas être facile. Cette première partie est assez originale. Hormis le scénario délirant (MOT est tiré d'une bande dessinée), ce qui surprend c'est la fenêtre de jeu : des cases se superposent, montrant où se trouvent les différents protagonistes. Mais matez plutôt les photos, car une image vaut mieux qu'un long discours. MOT EST MOTIVE La porte spatio-temporelle franchie, je me retrouve dans son monde : une jungle pleine de dangers. A peine débarqué, je me fais séquestrer. MOT, quoique monstre, possède un Cœur d'or et décide de jouer de ses 3 ou 4 tonnes, de ses pattes et de sa queue (sans allusion douteuse) pour venir à mon secours, à la façon d'un char d'assaut.
Coups de patte ou de queue, rien n'est épargné aux bestioles bizarroïdes qui osent entraver sa route. Les citrouilles en prennent plein la tête, les serpents également (on les voit sortir de leurs gonds... pardon, de leurs anneaux) mais la route est longue et les ennemis nombreux. Courage MOT, c'est MOI que tu dois sauver. MOT est vu de haut. Ses déplacements et ses mouvements sont d'une fluidité exemplaire. Les graphismes sont hyper-good. Un genre de shoot' em'up, sauf qu'au lieu de missiles vous balancez des beignes dans huit directions. CHANGEMENT DE DECOR Une troisième partie se découvre à mes yeux ébahis. J'avais l'habitude de n'en voir que deux. En fait, nous nous retrouvons devant un remake complet de la deuxième partie : changez les décors, les ennemis, placez MOT là-dedans et c'est reparti. C'était vraiment histoire de faire une partie de plus, mais bon, on ne va pas s'en plaindre. Pour conclure, j'insiste sur le soin particulier de la réalisation : graphismes, musiques, animations, tout est d'enfer. Hélas, il est pratiquement certain que la longévité de ce soft, malgré ses trois parties, soit limitée. Mais si vous vouiez vous faire un petit plaisir, n'hésitez pas. Chris, MOTus et bouche cousue, ACPC |
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Page créée en 421 millisecondes et consultée 6326 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
