| ★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ HARRY ET HARRY 1: LA BOITE DE RAJMAHAL (c) ERE INFORMATIQUE ★ |
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Harry et Harry: dans les années trente, Los Angeles n'était pas peuplée que par des anges. Harry et Harry recrée l'atmosphère qui régnait alors dans la ville au moyen de graphismes en blanc et noir devant leur finesse au mode « haute résolution » de l'Amstrad CPC. L'utilisation de fenêtres montrant les personnages en gros plan donne à ces logiciels des allures de bande dessinée. On retrouve, au cours des deux épisodes suivants, les mines patibulaires du « Boss » et de ses deux acolytes:
La boîte de Rajmahal: les premières images vous plongent d'emblée dans la Série noire. Noire comme la cave dans laquelle le « Boss » vous séquestre par erreur, noire comme l'humour des dialogues, qui virent d'ailleurs parfois au vert. Un professeur et sa dernière découverte, une boîte vieille de deux mille ans susceptible de procurer d'immenses pouvoirs à qui en percera le secret, sont tombés dans les pattes du Boss. Vous ne pourrez ia soustraire à ses détenteurs mal intentionnés qu'en échappant à la vigilance de vos geôliers et en délivrant le malheureux professeur.
Mission Torpédo: malédiction ! La boîte de Rajmahal, acquise à grand peine lors de la première mission, vous échappe en début de jeu, dérobée par les deux Harry. L'affaire de cette boîte mystérieuse a pris depuis l'épisode précédent une dimension internationale et les superpuissances sont maintenant directement impliquées dans une aventure qui vire à l'espionnage. Votre rencontre avec l'agent Marthe Harry vous projette dans un univers où se côtoient des personnages aussi étranges que Vlad Zhkcrba, ambassadeur de Karkovie, ou Olmaid Ariadne, âme torturée par le remord, que des fiches de renseignements loufoques vous aident à mieux cerner. Plutôt ingrate, la première partie de cette mission consiste à convaincre tout ce beau monde, par un fastidieux porte-à-porte, de se rendre à l'opéra. Il s'agit ensuite de placer les différents personnages dans une loge en évitant de froisser les susceptibilités. L'aventure se poursuit par une course folle dans les égoûts de Los Angeles. Un épisode un peu décousu et très difficile à mener à bien. TILT n°47 - Novembre 87 |
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Page créée en 189 millisecondes et consultée 5244 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
