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2/4.1 - La mémoire morte (ROM) | Coding Classeurs Weka |
La mémoire ROM de base des différents modèles d'AMSTRAD est une TMM 23256 (ou un équivalent), qui contient 256 k-bits organisés en 32 k-octets (rappelons que 1 k = 1024).
La figure 1 montre que le boîtier à 28 broches abritant cette mémoire comprend la matrice de 8 x 32 768 « cellules », un « décodeur d'adresse » permettant de choisir l'octet que Ton veut lire, et un « buffer de sortie » ne connectant la mémoire au bus que lorsque cela est nécessaire (uniquement pendant la lecture ). Quinze lignes d'adresse sont donc prévues ( puisque 215 = 32 768 ) aux côtés des huit lignes de données. CYCLE DE LECTURE Outre les broches d'alimentation ( + 5 V et masse ou Vcc et Vss), on trouve encore les broches de commande CS et OE ( Chip Select et Output Enable ) : les données lues ne peuvent atteindre le bus que si ces deux broches sont en même temps à l'état bas (0 V). Dans l'AMSTRAD, OE est mise à la masse par une résistance, mais un niveau haut f + 5 V ) peut être « forcé » de l'extérieur par l'intermédiaire de la borne ROMDIS ( ROM DISable ) du connecteur : une ROM externe peut alors être substituée à celle d'origine, avec toutes les possibilités que cela suppose pour le programmeur averti...
C'est donc finalement le signal ROMEN (ROM ENable) généré par le circuit « gâte array », qui déclenche le transfert des données sur le bus de la machine. Un synchronisme rigoureux doit évidemment être respecté entre toutes ces opérations afin d'éviter tout « conflit » sur les bus. Les ROM supplémentaires présentes sur certaines versions d'AMSTRAD fonctionnent exactement de la même façon, bien que leur capacité puisse être différente : une ROM de 16 k-octets, par exemple, sera tout simplement démunie de la ligne d'adresse A14.
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