HARDWARELECTEURS DE DISQUETTES ★ UN LECTEUR 3 POUCES ½ POUR CPC ★

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Dans le monde bizarre de la micro informatique, tout est mis en œuvre pour que chaque micro communique le moins possible avec ses congénères. Les différentes extensions de l'ordinateur machin ne se branchent pas sur l'ordinateur truc. Les CPC sont particulièrement exotiques grâce à leurs disquettes format 3 pouces dont ils sont quasiment les seuls utilisateurs dans le monde. Ce qui a déjà causé pénurie, spéculations et autres hausses de prix subites. Il suffit de comparer les prix d'une boite de disques 5 1 /4 et ceux pratiqués pour les 3 pouces pour comprendre la phrase : «Tout ce qui est rare est cher». Alors pourquoi ne pas utiliser des disquettes 5 1 /4 se sont dit certains. Il suffit de récupérer un lecteur PC aux normes Schuggart, de dénicher ou de fabriquer le câble adéquat et voilà un moyen de stockage bon marché. Ce qui est vrai pour les 5 1 /4 est également vrai pour les 3 1 /2 qui sont en passe de devenir le standard (enfin !) pour les disquettes (Amiga, Atari, Macintosh et PC l'utilisent déjà). Mais attention je n'ai pas dit que l'utilisation d'une taille commune implique un formatage commun et un échange de données facile (exception faite pour le PC et l'Atari qui peuvent échanger des données grâce à un formatage assez semblable). Voila pourquoi un Amstrad équipé d'un lecteur 3"½ ne pourra pas lire des disquettes PC, ni Amiga, ni Atari (et encore moins Mac puisque le lecteur de ce dernier utilise 5 vitesses différentes pour le formatage), ce qui veut dire que malgré les quantités importantes de données pouvant être stockées sur 3 1 /2 pouces, votre ordinateur ne pourra utiliser que les format Data ou System sur les nouvelles disquettes.

Si vous avez suivi jusque là, vous savez maintenant que le problème de votre CPC c'est son système d'exploitation, c'est à dire Amsdos. Celui-ci ne connait que 4 formats, tous en 40 pistes et en simple face. Sauf formatages spéciaux, on ne dépasse pas les 180 Ko par face. Et ce serait la même chose avec un lecteur 3"½ ou 5¼ ou même avec un disque optique ( s'il en existait pour CPC !). La solution passe par un nouveau système d'exploitation. C'est ce type de logiciel que propose KDS. Il est Intitulé RAMDOS et permet d'obtenir les nouvelles commandes nécessaires à l'utilisation complète du disque 3 1 /2 pouces. Ainsi la commande de formatage permet des capacités de presque 800 Ko par disquette I On se sent déjà beaucoup plus à l'aise. Vous pourrez donc stocker toutes vos archives sur ces diquettes en économisant place et argent (les diquettes coûtent moins cher et vous en utilisez moins). Mais toute médaille à son revers car vous ne pourrez pas utilisez vos disquettes grande capacité dès l'allumage de l'ordinateur. Le CPC s'initialise avec Amsdos qui ne connaît toujours pas autre chose que le format Data ou System. Il faut donc auparavant lancer le programme Ramdos ou Maxidos suivant votre choix. Ramdos est distribué par Jessi-co alors que vous pourrez trouver Maxidos chez Duchet Computers.

MAXIDOS

Ce logiciel se présente comme un remplaçant du système d'exploitation Amsdos dont il reprend certaines commandes en les améliorant. Mais ici on n'utilise pas de RSX, il suffit de lancer le programme pour constater que certains détails ont changé sur l'écran de présentation : ainsi un prompt apparait (A>) et le curseur clignote. Les différentes commandes possèdent des abréviations qui permettent d'accélérer la frappe, ainsi BACKUP pourra s'écrire BA. C'est tout de même plus pratique, non ? Je passe rapidement sur les commandes classiques telles CAT ou A: B: car elles sont connues de (presque) tout le monde. Elles possèdent cependant des capacités supplémentaires : elles acceptent les jokers (c'est le cas pour CAT, ERASE, USER).


MAXIDOS : le menu principal

BACKUP permet de faire une copie bloc par bloc, d'une disquette vers une autre disquette de même format. Toujours dans la copie, COPY permettra de transférer des fichiers en outrepassant la limite des 42 Ko de l'Amsdos. La commande FORMAT intéresse les possesseurs de lecteurs 3 1 /2 ou 5¼ car il peut produire des formats en 796 Ko par exemple (double face, 80 pistes) ces formats sont ceux utilisés également par RAMDOS. Mais attention avec Maxidos, il n'est pas question de lancer un programme sur le lecteur 3 pouces ½ (pas plus d'ailleurs que sur le 3 pouces). Les disquettes 3 1 /2 dans ce cas sont utilisées comme archives en ce qui concerne les formats autres que Data ou System (qui sont eux tout à fait utilisables sous Amsdos). Une autre commande est particulièrement utile c'est VERIFY. Comme son nom l'Indique, elle est capable de détecter les mauvais secteurs de votre disque et vous donnera la preuve que les disquettes bon marché ne sont pas vraiment les meilleures en fiabilité. Parmi les autres commandes intéressantes, il existe RO, RW et SY qui permettent de changer les attributs de vos fichiers (lecture seule, lecture et écriture possibles, invisibilité au catalogue). Mais au menu de la disquette Maxidos, on trouve également un lanceur de programmes à partir du lecteur B, un archiveur de disquettes sur cassettes, c'est-à-dire la possibilité de transférer de disque à K7. Entendons-nous bien : vous ne pourrez pas exécuter les programmes sur la K7, Il s'agit uniquement d'un transfert physique de la disquette et de ses données donc imcompati-bilité avec la cassette. A quoi cela sert-il alors ? Eh bien tout simplement d'un moyen de libérer de la place sur une disquette en conservant une trace sous forme de cassette. Enfin dernier utilitaire, et pas le moins impressionnant c'est l'optimiseur de disquettes.


L'option compacteur de MAXIDOS.

Vous savez que l'Amsdos sauve les programmes là où il y a de la place sur les disquettes. Il arrive donc après de multiples utilisations et de multiples effacements, que les programmes enregistrés soient morcelles et éparpillés en petits tronçons sur la disquette (voir l'Exploreur de Discology). Il en résulte un ralentissement des opérations sur ces fichiers. Le compacteur est capable de «recoller les morceaux» et de faire en sorte que les programmes soient «entiers» et se suivent à la queue-leu-leu. La seule condition pour la réussite de l'opération est la nécessité d'avoir aux 16 Ko de libres sur le disque à traiter.
Maxidos devient rapidement indispensable aux possesseurs de lecteur 3 1 /2 pouces et même aux autres. Le seul petit désagrément provient de la saisie des caractères, le programme ne tient pas compte des claviers AZERTY et II faut faire une modification sur la disquette pour éviter la crise de nerfs (ne pas oublier de faire une copie de son original).

RAMDOS ET ROMDOS

Bien que possédant certaines fonctions communes avec Maxidos, Ramdos est d'une approche différente puisqu'il ne propose pas une série d'instructions mais un programme intitulé «Formats». Vous vous doutez bien qu'avec ce nom, il est question de formatages en tout genre. En effet il existe pas moins de 6 formats différents pour les disquettes 3"½ pouces. Pour commencer, il faut lancer le programme Ramdos qui vous demandera votre configuration : 464, 664 ou 6128 avec, éventuellement, une extension 64 Ko. Ensuite on revient sous Basic avec les commandes Amsdos que vous devez connaître si vous avez déjà ouvert votre manuel. Pourquoi alors lancer Ramdos si on se retrouve avec les mêmes commandes ? Eh bien tout simplement parce que ce programme inittalise le second lecteur (format D20 par défaut) et vous pouvez donc manipuler les fichiers sur des disquettes 3 1 /2 formatées en 796 Ko comme s'il s'agissait de disquettes ordinaires. Pour formatter les disquettes il faut utiliser le programme «Formats». Celui-ci contient, non seulement les utilitaires de formatage mais également des programmes de reconnaissance des formats (ceux de Ramdos), un catalogue des lecteurs et surtout un programme permettant la visualisation et la modifications des DPB (Disk Parameter Block) c'est-à-dire les tables nécessaires pour l'identification des disquettes. Autant dire qu'il est indispensable de connaître quelque peu le fonctionnement Interne de l'Amstrad pour tenter des modifications. Imaginons que vous vouliez une disquette formatée en 796 Ko. Il faut tout d'abord lancer Ramdos, décliner votre configuration puis lancer Formats et choisir l'option «Voir et changer le format», ainsi vous pourrez choisir, par exemple, le format D10 (796 Ko) et ensuite sauver cette configuration avec «Customize Ramdos.bin». Si vous utilisez souvent le même format pour les 3"½, cela vous permettra de n'avoir à lancer que Ramdos pour travailler avec votre second lecteur. Vous trouverez également un programme de copie de lecteur B à lecteur B qui peut utiliser une disquette 3 pouces dans le lecteur A comme d'un buffer pour stocker les données. A signaler que Ramdos peut s'utiliser sous CP/M 2.2 et sous CP/M+. Quand à Romdos, Il s'agit d'une version sur mémoire morte de Ramdos. Il faut faire l'acquisition d'un petit boîtier pouvant contenir ces composants (exemple complètement au hasard : celle de Rombo). Ainsi dès l'allumage de votre ordinateur, le second lecteur sera utilisable. Mais il faudra toujours le programme Formats pour pouvoir formater et faire des modifications au niveau des paramètres du disque.


ROMDOS sur son support.

Puisque nous sommes dans la mémoire morte, il existe un autre programme intitulé RO-DOS, disponible uniquement en ROM et qui offre un grand choix de commandes grâce à un environnement de type MS-DOS (comme sur les PC).

RODOS SYSTEM

Ce programme sur ROM est en fait composé de deux parties : Rodos lui-même et RECS une série de commandes destinées à vous faciliter la vie.
Le premier atout de Rodos est bien sûr d'être disponible dès l'allumage de votre Amstrad : pas de disquettes à charger, pas de RUN «quelque chose» difficile à mémoriser.
Rodos apporte une nouvelle structure à vos disquettes 3"½ en incorporant la notion de «Directory». Ceux qui ont déjà manié un PC sauront de quoi il s'agit. Sur l'Amstrad, avec Amsdos, il est seulement possible d'avoir un seul catalogue (même en changeant de user), les disquettes 3"½ étant de plus grande capacité possèdent également des catalogues plus étoffés. Il peut donc arriver qu'en effectuant un «CAT» l'écran soit vite débordé par la quantité de données à afficher. Et puis de toutes façons, il est particulièrement pénible d'avoir à rechercher un fichier particulier parmi une centaine d'autres. Avec les «directories» il est possible de créer un catalogue regroupant des programmes du même type. Par exemple, vous possédez plusieurs logiciels de dessin qui peuvent être regroupés sous le nom «UTILGRAPH» alors que tous vos chefs d'œuvre graphiques seront regroupés sous le nom «DESSIN». Lorsque vous demanderez le catalogue de votre disquette RODOS vous verrez apparaître les seuls noms «UTILGRAPH» et «DESSIN». Pour pouvoir accéder à un des graphiques. Il faudra utiliser la commande CD pour visualiser les noms de toutes vos œuvres. Vous pourrez ensuite revenir dans le directory principal pour recommencer avec «UTILGRAPH». Bien sûr vous trouverez toutes les commandes permettant de créer, de supprimer ces direc-tories et même de «relier» les noms des fichiers à leur directory lorsque vous placez ces fichiers sur un autre drive (pas clair, hein ?). Autant vous le dire tout de suite, le format RODOS est bien sûr totalement imcompatible avec l'Amsdos, puisque le catalogue n'est même pas organisé comme sur le système d'exploitation standard de l'Amstrad.
Les numéros de lecteurs peuvent varier de A à H avec en C un silicon disk (ou disque virtuel) et D,E en drives externes. Le disque virtuel est une partie de la mémoire qui est utilisé comme un disque à la différence près que sa capacité n'est que de 64 Ko.
L'avantage est une rapidité de chargement et de sauvegarde inégalable. L'inconvénient c'est la «fragilité» des fichiers ainsi sauvegardés car ils disparaissent dès l'extinction de la machine.
Enfin autre caractéristique jusqu'à présent peu exploitée sur Amstrad ; les fichiers à accès direct. Il est possible d'ouvrir un fichier puis de saisir une donnée sans avoir à charger toutes les fiches en mémoire.
RECS contient de multiples commandes supplémentaires qui permettent en vrac, de protéger les fichiers, de créer des fichiers «Batch», c'est-à-dire en ASCII et comprenant des commandes à la queue-leu-leu. Vous pouvez donc avoir une séquence intitulée «Startup» et qui initialise votre machine en mettant des couleurs choisies par vous à l'écran et qui crée un disque virtuel. Recs permet d'écrire et de lire des secteurs, de définir des priorités entre les différentes ROMs (Ah oui parce que l'on peut mettre jusqu'à 8 ROMs dans le produit de Rombo).
L'ensemble RODOS est très attrayant par ses possibilités mais il oblige à se munir d'une carte d'extension (RODOS n'existe qu'en ROM) et d'un lecteur 3 1 /2 (les commandes les plus intéressantes sont destinées à ce support). - Distribué par : JESSICO

PC-TRANS

Voici un logiciel original qui utilise, lui aussi, les capacités du lecteur 3 1/ 2 pouces. PC-Trans autorise le transfert des fichiers du CPC vers un PC. Mais attention, pas question de faire tourner OCP Art Studio sur PC ou de jouer à Golden Axe version CPC sur votre compatible. Donc Je le répète pas question d'EXECUTER des programmes, en revanche il est tout à fait possible de transférer des fichiers ASCII et de les ré-utiliser dans des traitements de textes sur PC.


Le lecteur 3"½ pouces en place.

PC-trans est constitué de 3 programmes principaux. Commençons par PCFORMAT qui, comme son nom l'indique, permet de formater une disquette 3"½ au format PC. Ensuite PCWRITE vous propose de transférer les fichiers de CPC vers PC en affichant tout d'abord le catalogue du drive A (3 pouces). Vous devrez alors entrer le nom entier en majuscules (faute de quoi, les fichiers ne seront pas utilisables) du fichier à transférer. Le nombre de fichiers «transférables» est de 12. Et cela quel que soit leur taille. Cette taille est justement limitée à 64 Ko. Je vous expliquerais plus loin les raisons de cette limitation. Les programmes une fois transférés, il ne reste qu'à enfourner la disquette 3 1 /2 dans un lecteur de PC et à utiliser PCToois ou Norton Commander pour copier les fichiers sur une «vraie « disquette PC. Attention, il ne faut pas faire de manipulations avec le PC six la disquette au format PCTRANS car cela risque d'endommager cette dernière (la réciproque étant vraie d'ailleurs). On peut aussi transférer des fichiers de PC vers CPC avec cette fols moins de limitations puisque les seules bornes sont celles de la capacité de la disquette 3 pouces.

Malgré l'impossibilité de faire tourner les logiciels PC sur CPC et réciproquement. Il est tout de même possible de transférer des fichiers binaires et Basic sur PC. Mais à quoi cela peut-il servir ? A part de rares cas particuliers, à rien, enfin vous savez que c'est possible. Tout de même une petite application pour ceux qui ont un PC sous la main : Vous prenez un programme en Locomotive Basic pas trop compliqué (pas de poke, de call et autres appels au langage machine, pas de fonctions graphiques trop élaborées) vous le sauvez en ASCII sur la disquette 3 pouces. Ensuite vous faîtes le transfert avec PCWRITE sur la disquette 3"½. Du coté PC, vous lancez le GW-Basic et vous choisissez l'option LOAD (F3) pour charger le fichier Basic-Ascii à partir de la disquette PCTRANS. Une fois chargé, le fichier est listable. Pour le lancer, faire RUN ou F2. Ca provoque des erreurs ? C'est normal, les deux Basic ne sont pas totalement compatibles. Il faut prendre le manuel du GW et se mettre à la recherche des équivalences. Par exemple l'instruction LOCATE sur PC possède deux paramètres «ligne» et «colonne», sur CPC, c'est l'Inverse. Ce cas est plutôt simple et même si la transcription n'est pas toujours aisée, cela vaut toujours mieux que de ré-écrire tout le programme.
Pendant que nous sommes dans les transferts de fichiers sachez que vous pourrez également tenter des transferts directs CPC vers Atari ST ( et pas le contraire) ou CPC vers Amiga via Crossdos, Dos2Dos ou Messy-dos et enfin sur Macintosh via le File Exchanger (mais pas avec Daynafile, car cet appareil doit écrire sur la disquette PC).

Une dernière recommandation : les disquettes au format PCTRANS ne doivent pas être tripotées avec des éditeurs de secteurs et autres outils chirurgicaux, elles pourraient ne plus être lisibles par le CPC ensuite. La réciproque est vraie : il ne faut pas essayer de transférer des fichiers CPC sur une «vraie» disquette PC. Pourquoi toutes ces limitations ? Eh bien parce que la disquette formatée par PCTRANS est une disquette PC «spéciale». La grosse différence entre les disquettes CPC et PC (à part la capacité), ce n'est pas le formatage qui peut être reproduit par un bon utilitaire pour disque (Format II ou Discologypar exemple), ce serait plutôt la disposition des fichiers sur le disque. Pour le CPC, la position du fichier est indiquée dans les entrées du catalogue. Alors que sur PC, le catalogue est distinct de la FAT (File Allocation Table ou Table d'Allocation des Fichiers). De plus les calculs nécessaires à l'obtention des numéros de FAT semblent assez ésotériques, tout est plus simple lorsque les fichiers se suivent. C'est pourquoi les auteurs de PCTRANS ont simplifiés le problème : ils ont découpé la disquette en 12 zones, correspondant à 12 fichiers et placé d'office les bons numéros de FAT. Ceci explique la limitation des 12 entrées du catalogue. De plus les 12 zones réservées occupent 64 Ko sur la disquette. Donc si votre programme fait 2 Ko, il y aura 61 Ko de gaspillé I Pour un PC, la disquette au format PCTRANS est considérée comme étant remplie. Vous voyez le problème. De toutes façons, rien ne vous empêche de transférer au fur et à mesure les fichiers sur une disquette PC «normale».

Un dernier mot plutôt consacré aux bidouilleurs, PCTRANS était prévu au départ pour travailler aussi avec des lecteurs 5¼ (avec une capacité moindre évidemment) mais cette option a été supprimée à cause des erreurs possibles. Par exemple, un lecteur 5 1 /4 soumis au formatage en 720 Ko ! Tragique ! Mais il doit être possible de faire soi-même la modification si l'on veut à tout prix utiliser un lecteur 5¼.

Le seul regret minime concerne la présentation du logiciel PCTRANS qui est plutôt austère, mais le principal n'est-il pas l'efficacité ?

Olivier SAOLETTI , CPC INFOS n°26 (Novembre 1990) & https://cpcrulez.fr

★ ANNÉE: ???
★ DISTRIBUTEUR: DUCHET COMPUTERS
 

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L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent  du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko.