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| WARRIOR PLUS (NOUVELLE VERSION) |
Aptes Warrior, voici Warrior "Plus". Plus ? Plus de graphisme, plus de sons, plus performant... Le plus beau. Warrior Plus, entendez Warrior-cassette, nouvelle version sur disquette, est l'exemple type que la production française de logiciels peut atteindre un top-niveau et éclipser les plus belles réalisations étrangères. Cocorico !
Azatoth. créature maléfique (Dieu qu'il est laid ce suppôt de Satan...) a décidé d'anéantir l'espèce humaine. Vous devez agir vite et pénétrer dans un château moins qu'hospitalier et retrouver douze parchemins qui, selon la légende, vous permeitrom de l'anéantir lui et ses congénères, plus affreux les uns que les autres. Avant d'entrer dans le château, faites donc un petit tour dans le magasin... Outre les éléments indispensables au chasseur de monstres (épéc, bouclier...) que vous pourrez y trouver, le magasin mérite, pour le plaisir des yeux ; un détour. P... quel graphisme ! Notez au passage le crâne sur l'étagère et la pan-cane "la maison ne fait pas crédit". Rentrez ensuite dans le château, épéc à la main, l'aventure commence. Vous aurez à vous promener dans les couloirs du château. Bonjour les frissons dans le dos ! On s'y croirait. Graphismes en trois dimensions, dignes d'un "Mac". Le tout est piloté soit par le clavier, soit an joystick. C'est très agréable. L'utilisation de la disquette rend fantastique le déplacement dans les salles, (écrans point par point, stocké; sur disquette avec chargement ultra rapide).
Au hasard de ces salles, vous retrouverez les parchemins, dont la posscs sion est votre but ultime. A tout moment, vous pouvez faire le point : un menu vous donne les instruction; (prendre, armes à la main, ouvrit portes, manger...) et vous rappelle les objets en votre possession. Une nouvelle pression sur une touche et vous obtenez le plan des lieux ci les issues possibles. Mais dans ces infâmes couloirs, vous pouvez également faire de mauvaises rencontres : les disciples d'Azatoth vous attendent à un tournant, parlementer ou combattre (le jeu comprend des séquences arcade on ne peut plus rapides), telle est l'alternative. Choisissez bien, car vous risquez fort d'être au menu du prochain repas d'Azatoth... Ce jeu est vraiment très bien fait. Le graphisme est admirable, dans tous les sens du terme. Ceux qui ont la version cassette du jeu, ne sont pas dispensés de faire l'emplette de cette version revue, corrigée et originale par plus d'un point. Prévoyez une bonne nuit blanche, car une fois qu'on a commencé, on ne peut plus s'arrêter de jouer... L'Enfer ! Si vous aimez les jeux d'aventure, celui-ci ne peut que vous manquer... Comment ? Vous n'êtes pas encore parti vous le procurer ? Comblez vite cette lacune dans votre logîthèque ! Un logiciel de cette qualité, il risque de ne pas y en avoir pour tout le monde... Vous faites ce que vous voulez, moi j'ai mon Warrior Plus ! Pour un tel logiciel, chacun pour soi et tous pour Warrior (plus). Les dessins, en plus ne manquent pas d'humour. Warrior Plus de Rainbow Productions : "le pied" !! Graphisme : ***** AMSTRAD MAGAZINE n°7 |
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Page créée en 726 millisecondes et consultée 2870 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
