où le lecteur découvre le comment du pourquoi à moins que ce ne soit le pourquoi du comment Alan Sugar, the Amstrad Story, de David Thomas, Londres, Century 1990. La bibliographie de mon livre aurait pu se contenter de mentionner ce seul livre ; c'est le seul qui m'ait apporté des informations et anecdotes que je ne connaissais pas ; David Thomas était un journaliste du Financial Times, qui a sauté sur une mine au Koweit peu après la fin de la guerre du Golfe.
Les accusations de plagiat et les procès en cours m'obligent à mentionner les sources suivantes : — Alice's Adventures in Wonderland, de Charles Dodgson, alias Lewis Carroll, Londres, Macmillan 1865.
— Gulliver's Travels, de Jonathan Swift, 1726
— Lettres de Madame de Sévigné, de 1670 à 1694
— Les Caractères, de La Bruyère, Paris, mars 1688
— Les œuvres complètes de Pierre Desproges
— Les œuvres complètes de Jacques Attali sans oublier les œuvres complètes d'Hebdogiciel, alias Gérard Ceccaldi, et certains morceaux choisis des Journaux suivants : Science et Vie Micro
Soft et Micro
Décision Informatique
01Informatique
Le Monde Informatique
Micro-Systèmes
Micro-Ordinateurs
Info-PC CPCrulez[Content Management System] v8.732-desktop
Page créée en 301 millisecondes et consultée 1126 foisL'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
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