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Sinclair - Z88 (Science et Vie Micro)Hardware Divers
Un miracle signé Clive Sinclair

Clive Sinclair est de retour. L'homme qui, de 1980 à 1986, a vendu cinq millions de ses petits ordinateurs révolutionnaires, refait surface après un an de traversée du désert. De son sac à malices sort une machine qui ne paie pas de mine, distribuée par quelques boutiques britanniques, destinée à un marché pour le moins endormi : celui des ordinateurs de cartable pour lequel seul Tandy propose encore un modèle. Sinclair est-il définitivement un « loser» ? Regardez de plus près : le Z88 est étonnant !
Ancien prodige de l'industrie anglaise, adoubé par la Reine, confident de Margaret Thatcher, Sir Clive a vu sa gloire s'effondrer en un jour : celui de la signature du rachat de la marque Sinclair par son grand rival Amstrad, en avril 1986. Ont été ainsi rayés d'un paraphe les cinq millions d'ordinateurs vendus (ZX80, ZX81, ZX Spectrum et QL), et quantités de projets mirifiques mais financièrement catastrophiques (téléviseur de poche, voiture électrique, etc.). Les premiers coups de grisou sur la firme Sinclair Research (stagnation du marché à partir de Noël 1984, mévente du QL, concurrence d'Amstrad) ont donc été fatals à son fondateur, inventeur de génie, mais gestionnaire un peu léger.

Aujourd'hui, les restes de Sinclair Research ont éclaté en trois sociétés : Anamartic, un groupe de recherche, qui poursuit les travaux sur l'une des idées fixes de Clive Sinclair, les ? wafer chip -, des cartes électroniques intégrées sur plaquette de silicium ; Shaye Communications, qui s'intéresse au marché du téléphone cellulaire ; et enfin Cambridge Computer, à qui l'on doit le Z 88, héritier d'un vieux projet de Sir Clive, connu sous le nom décodé Pandora.

Le Z 88 est un ordinateur de cartable. Autant dire qu'il n'a guère de concurrent sur le marché si ce n'est le TRS-80 modèle 102 de Tandy, présenté en France en juillet 1986, mais simple tentative de relance, à quelques détails près, du déjà ancien modèle 100, apparu en janvier 1984. Ce dernier, avec le Mec PC 8201 et l'Olivetti M10 aujourd'hui disparus (tous trois étaient fabriqués au Japon par la firme Kyocera) fut le premier à jeter les bases de ce nouveau type d'ordinateur : petite taille, petit poids, autonomie totale, logiciels intégrés, sauvegarde permanente de la mémoire, possibilité de transférer les documents vers un ordinateur de bureau. Clientèle visée : les étudiants, les journalistes, les écrivains, et en général tous ceux qui ont à prendre des notes ou à effectuer des calculs complexes quel que soit l'endroit où ils se trouvent. Le concept était génial, mais n'a jamais trouvé de réel marché. Chères, ces machines ont particulièrement souffert de tailles mémoires insuffisantes : en 1984, le MEC PC 8201 avec 64 Ko de mémoire coûtait 12 356 F. Seul reste commercialisé aujourd'hui le Tandy 102, à 3 295 F HT pour 24 Ko de mémoire vive, extensible à 32 Ko ! Des caractéristiques qui ont un curieux goût rétro.

Avec le Z 88, Clive Sinclair se devait donc d'apporter de la nouveauté. De prime abord, on la recherche vainement : un banal microprocesseur 8 bits Z 80, 32 Ko de mémoire vive, un écran à cristaux liquides, bref, rien de bien excitant. Observée de plus près, la machine surprend d'abord par ses dimensions : si elle occupe la même surface que le Tandy (le format d'une feuille A4), elle est deux fois moins épaisse : 2 cm seulement. Quant au poids, il est également divisé par deux : 900 g pour le Z88, contre 1,8 kg pour le Tandy. Conséquence : le Z 88 se loge effectivement sans problème dans un cartable, glissé au milieu d'autres cahiers. Mais c'est par ses» caractéristiques techniques que le Z 88 étonne le plus : la mémoire vive est extensible à 3 Mo, la mémoire morte de 128 Ko contient un véritable logiciel intégré auquel s'ajoutent un Basic et de multiples utilitaires, l'écran à cristaux liquides est de très grande qualité, le système d'exploitation est remarquable, et l'ensemble est truffé d'astuces. En regard de ces performances, le prix de la machine paraît raisonnable : 2 500 F environ (249,99 & HT).


Sur la face avant du Z 88, les 3 connecteurs
pour les cartouches d'extension mémoire.

Sans donner une impression de solidité colossale, la carrosserie en plastique noir du Z 88 est correctement finie. Le clavier, qui fera sourir les habitués de Sinclair, est surprenant : un revêtement de gomme lavable épouse d'une seule pièce les contours des touches, elles-mêmes caoutchouteuses : passée la première surprise, la frappe est contrairement à toute attente très agréable, et - ce qui ne gâte rien pour ce genre de machine -parfaitement silencieuse. L'écran à cristaux liquides, sur le même plan que le clavier, est très lisible malgré la petite taille des caractères : de technologie • supertwist *, il est fabriqué par Epson et affiche 8 lignes de 106 caractères. La petite molette qui permet d'en régler la luminosité est située sur la tranche gauche du Z 88, à côté de la prise d'alimentation externe, et d'un minuscule bouton de réinitialisation, difficilement accessible (c'est une qualité !). La tranche droite, elle, supporte le connecteur 9 broches de l'interface RS 232 et une petite trappe d'accès au bus d'extension Z80. Sous l'ordinateur se trouve le logement des 4 piles 1,5 V qui lui donnent une autonomie d'une vingtaine d'heures en travail intensif, et un pied rétractable pour le poser sur un bureau en position inclinée. Dans un coin se trouve la grille du * beeper », avertisseur sonore utilisé comme signal d'erreur, alarme programmable, ou témoin de frappe des touches pour ceux que le silence du clavier angoisse...

Une mémoire d'éléphant

Les connecteurs les plus volumineux du Z 88, cependant, se trouvent à l'avant, juste sous le clavier : un volet de plastique transparent protège les trois cartouches de mémoire qu'il est possible d'insérer dans la machine : pour le moment, Cambridge Computer a mis sur le marché des cartouches de mémoire vive de 32 et 128 Ko (permettant donc de porter la mémoire vive du Z 88 à 416 Ko au maximum), et des cartouches de mémoire morte EPROM de même taille. Ces dernières correspondent à la seule véritable mémoire de masse de la machine, puisqu'elles ne peuvent être effacées qu'avec un « brûleur > d'EPROM. On ne peut mettre qu'une seule mémoire EPROM dans la machine, sur le troisième connecteur. Pas de problème avec les cartouches de mémoire vive en revanche : moins sûres que les précédentes (elles doivent être toujours sous tension), elles ont cependant l'avantage de pouvoir être remises

MATÉRIEL TESTÉ:
Modèle du commerce avec manuel d'utilisation en anglais de 218 pages.
à jour instantanément, et de permettre de traiter de gros documents, comme on le verra plus loin. Ces cartouches de mémoire sont sauvegardées par les piles de la machine (un an si les piles ne font que cela), et protégées par un condensateur qui les maintient sous tension le temps de changer les piles, dans le cas où l'on ne dispose pas d'une alimentation externe. Cambridge Computer a par ailleurs annoncé des cartouches RAM et EPROM de 1 Mo, permettant d'étendre la mémoire vive du Z 88 jusqu'à 3 Mo ! C'est un record du monde pour le Z 80, un microprocesseur qui, rappelons-le, n'est en théorie pas capable d'adresser plus de 64 Ko de mémoire...

La gestion de cette colossale mémoire est un des points forts du Z 88. Pour la réaliser, deux systèmes d'exploitation se superposent en fait : le premier, traditionnel, traite chaque cartouche de mémoire comme un volume particulier, au même titre qu'une disquette. Les fichiers peuvent être organisés hiérarchiquement et manipulés au sein de ce volume, au travers de répertoires, de sous-répertoires, etc. La seule limitation est celle de la taille du volume, 32 Ko, 128 Ko ou 1 Mo. Le second système d'exploitation considère l'ensemble de la mémoire disponible comme un volume unique. Dans le cas d'une configuration à 416 Ko, par exemple, l'ensemble de la mémoire pourra être utilisé par un seul document, à condition bien sûr qu'aucun fichier ne soit sauvegardé par le premier système d'exploitation. Dans le cas contraire, la mémoire disponible sera diminuée d'autant. De plus, le Z 88 utilise cette mémoire en ligne pour faire simultanément cohabiter jusqu'à dix documents, quels qu'ils soient (traitement de texte, Basic, agenda, etc.). Cette complexe gestion de la mémoire, totalement transparente pour l'utilisateur, a deux avantages. Le premier est de permettre deux niveaux d'archivage des documents : en mémoire de masse pour les documents en traitement différé (un texte que l'on imprimera plus tard, un programme Basic que l'on souhaite conserver), en mémoire en ligne pour les tâches actives (les textes et les programmes en cours d'élaboration). Second avantage : une protection également à double niveau. Dans le cas d'une réinitialisation de la machine (parce qu'un programme Basic a « planté » le système par exemple), les tâches actives seront irrémédiablement perdues, mais pas les fichiers répertoriés.

La mise en route du Z 88 se fait par appui simultané des deux touches SHIFT. La page d'accueil qui s'affiche à l'écran, baptisée Index, est constituée de deux menus. L'un propose la liste des logiciels intégrés à la machine, l'autre le nom des applications en activité, avec la date et l'heure de suspension du travail, et le cas échéant, le nom du fichier répertorié concerné.

Les touches de curseur permettent de sélectionner directement l'application ou le document souhaité. Parmi les logiciels inscrits sur la mémoire morte du Z 88, le gros morceau est Pipedream, un véritable logiciel intégré qui assure les fonctions de traitement de texte, tableur et gestionnaire de fichiers. Très
puissant, doté de l'ensemble des fonctionnalités que l'on retrouve sur les logiciels classiques, Pipedream bénéficie d'un nombre incroyable de commandes et d'options. La fenêtre de travail de Pipedream, c'est l'une de ses originalités, est le tableur, quel que soit le document que l'on souhaite réaliser. Qu'il s'agisse d'un texte, d'une feuille de calcul ou d'un fichier d'adresses, Pipedream ne connaît qu'un seul format pour les données : celui d'une cellule de tableur. L'avantage est énorme : un même document peut mêler le plus simplement du monde les trois applications. De plus, toutes les options de mise en forme du document s'en trouvent simplifiées : chaque colonne du tableur possédant ses propres marges, il est possible de présenter du texte sur plusieurs colonnes.

De nombreux logiciels

La taille théorique d'un document est limitée par le nombre de colonnes, 64 (de A à BL) et par le nombre maximum de caractères qu'accepte chaque cellule, 255. Le nombre de lignes est limité seulement par la mémoire. En termes de gestion de fichier, on peut également dire que dans Pipedream, un enregistrement peut être constitué de 64 champs de 255 caractères, chaque champ correspondant à une cellule, et chaque enregistrement à une ligne. Même chose pour le traitement de texte, qui autorise donc 64 colonnes sur une justification de 255 caractères !

L'intégration des différentes applications dans un même document ne pose par conséquent aucun problème, chaque cellule du tableur pouvant être réservée à un type de données particulier. De même, on peut intégrer à une ligne de texte un champ lié à la cellule calculée d'un tableau. Seule restriction : Pipedream ne permet pas de créer des champs liés entre différents fichiers.

A côté de Pipedream, le Z 88 est doté d'un Basic, la version Z80 du Basic BBC, et de plusieurs autres logiciels plus modestes, qui constituent en fait les ? accessoires de bureau ? du système : un agenda, que l'on peut utiliser comme un traitement de texte simplifié ; un calendrier, qui peut être lié à l'agenda pour signaler certains jours importants ; une horloge avec alarme programmable très élaborée, capable de sonner et de démarrer automatiquement une application autant de fois qu'on le désire à intervalles réguliers (un an, un mois, une semaine,... jusqu'à une seconde) ; une calculatrice avec table de conversion (litres-gallons, kilomètres-miles, etc.) un logiciel de communication (émulateur de terminal VT52) ; un panneau de contrôle, permettant de définir les paramètres du système (vitesse de transfert de l'interface RS 232, format de date, cartouche de mémoire et répertoire courants, etc.).

Le Z 88, enfin, possède deux derniers logiciels très importants : le premier, Filer, est le programme de commande du sytème d'exploitation. De manière très simple, il permet d'effectuer toutes les opérations courantes sur les fichiers en mémoire : copier, renommer, effacer, créer un répertoire, etc. Le second, Import-Export, est une idée simple, pour la première fois simplement réalisée : ce programme permet le transfert de fichiers Pipedream vers d'autres ordinateurs. Ce qui constitue l'une des principales raisons d'être des ordinateurs de cartable. Cambridge Computer a pour ce faire mis au point les logiciels jumeaux destinés aux ordinateurs que l'on reliera au Z 88. Pour le moment, seul le système destiné à l'IBM PC est commercialisé : il s'agit d'un câble de liaison série et d'une disquette 5 pouces ¼ contenant le logiciel de transfert associé à celui qui est implanté dans la mémoire morte du Z 88, et les programmes de conversion entre le format Pipedream, et les formats Wordstar, le traitement de texte de Micropro, et 1-2-3, le tableur de Lotus. Conversion et transfert peuvent naturellement être effectués dans les deux sens.

A l'allumage, l'écran affiche le menu d'accueil. Parmi les nombreux logiciels, le traitement de texte de l'intégré Pipedream (ci-dessous).

Caractéristiques :

Microprocesseur :Z80 Système d'exploitation : propre à la machine, réalisé par Operating Systems Ltd.

Mémoire : vive : 32 Ko, extensible à 3 Mo ; morte : 128 Ko.

Mémoire de masse : mémoire vive sauvegardée, cartouches EPROM. Affichage : écran à cristaux liquides de 8 lignes de 106 caractères.

Clavier : QWERTY de 64 touches. Interfaces : 3 connecteurs pour cartouches de mémoire additionnelle (RAM ou EPROM), sortie série RS 232, bus d'extension Z80.t

Périphériques : cartouches de mémoire vive de 32 Ko : 200 F (*) ou 128 Ko : 500 F; cartouches de mémoire EPROM de 32 Ko : 200 F ou 128 Ko : 500 F ; effaceur d'EPROM : 400 F; PC Link (câble et logiciel de transfert Z88-IBM PC) : 250 F; câble série : 100 F. Annoncés : cartouches de mémoire uiue ou EPROM de 1 Mo, câble pour imprimante parallèle, modem, BBC Link.

Logiciels : en mémoire morte : Pipedream (logiciel intégré comprenant traitement de texte, tableur et gestion de fichiers), Basic BBC, émulateur de terminal VT52, logiciels accessoires (agenda, calculatrice, horloae, calendrier, etc.)

Alimentation : 4 piles bâton 1,5 V ou alimentation externe 6 V.

Dimensions : 290 x 210 x 23 mm ; poids :900 g.

Prix :2 500 F.

Distributeur : Cambridge Computer, non disponible en France.

(*) Tous les prix sont donnés pour une livre anglaise à 10F.

Au chapitre de l'ergonomie générale de cet ensemble de logiciels du Z 88, les programmeurs de Cambridge Computer (en fait trois petites sociétés anglaises réunies sous une bannière commune, Trinity Concepts) ont parfaitement tiré parti de l'apparente contrainte que représente un écran à cristaux liquides de 8 lignes : une seule touche (Menu), donne accès par appuis successifs à l'ensemble des options disponibles dans chaque programme, par l'intermédiaire de fenêtres qui se superposent momentanément à la fenêtre de travail, celle-ci baissant en luminosité dans le même temps. De plus, chaque option peut être activée par une combinaison de touches simple (avec la touche « losange »). Et la touche « carré » permet d'appeler tous les programmes intégrés à la machine, sans quitter l'application en cours. Dernier luxe, une zone carré à la droite de la fenêtre de travail est réservée à une vue en réduction du document en cours, chaque caractère y étant représenté par un point d'écran. WYSIWYG quand tu nous tiens...

La traversée de la Manche

Ce retour de Clive Sinclair s'effectue donc, sur le plan technique, sous les meilleurs auspices : le Z 88 est un petit ordinateur original, excitant, parfaitement réalisé. Le problème est que Sir Clive redémarre vraiment tout en bas de l'échelle : le Z 88 n'est pour l'instant vendu qu'en Grande Bretagne, à travers deux chaînes de magasins d'électronique grand public. Pour la France, rien de prévu pour l'instant. On ne peut que souhaiter qu'un importateur se manifeste, à la condition expresse qu'il prenne la peine de faire franciser la machine : le clavier QWERTY ne serait qu'un moindre mal si le Z 88 était capable d'afficher d'une manière ou d'une autre les caractères accentués, ce qui n'est pas le cas.

Le Z 88 risque-t-il de rejoindre le QL au placard des produits géniaux mais invendus ? Qu'en pense Sinclair ? Apparemment, sa traversée du désert n'a calmé ni sa foi de capitaine d'industrie, ni son goût pour les déclarations fracassantes. En septembre dernier, il clamait : « Le Z 88 sera dans dix-huit mois l'ordinateur le plus vendu au monde » !

Yann QARRET, SCIENCE & VIE MICRO N° 44

ANNÉE: 1986
★ AUTEUR(S): ???

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L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent  du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko.