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Les aventures trépidantes d'un chevalier en armure ou comment affronter les bestioles les plus affolantes pour les beaux yeux d'une princesse de légende. L'histoire débute dans un cimetière où les lombes moussues côtoient les barrières délabrées. Le chevalier, revêtu de son armure brillante, (n'oublions pas la lumière de la Lune) s'avance à petits pas. La visière du heaume tressaute périodiquement.
A la première stèle, l'horreur surgit dans toute son évidence sous la forme d'un mort-vivant décomposé. Ce dernier s'avance vers vous, les bras en avant, dans le but avoué de vous réduire en petits tas d'os blancs. Votre arme favorite est le sabre dont le maniement vous a été enseigné par le fou et regretté Von Scheimenbrug. Votre escrime est un peu particulière : vous jetez votre lame à la manière d'un javelot. Certes, le résultat est efficace, mais cela vous oblige à transporter plusieurs kilos de métal. Las, le premier être monstrueux terrassé, un autre apparaît aussitôt tout aussi horrible. Il faut donc utiliser votre inépuisable énergie afin d'effectuer un bond gracieux au-dessus des fâcheux qui nuisent à votre progression. Abandonnant toute retenue, vous vous précipitez, à la manière d'un papillon attiré par la lumière, vers les dangers les plus effroyables. Enumérons les quelques obstacles de cette première phase : corbeaux, plantes carnivores (dans un cimetière ? Le jardinier devrait s'occuper un peu du problème). Les tombes sonl maintenant loin : vous vous dirigez vers une série de petits îlots séparés par une eau marécageuse et nauséabonde. Il n'est pas besoin de vous préciser que la moindre chute vous enlève une précieuse vie. Les fantômes essaieront de vous pousser hors du droit chemin, ne vous laissez pas faire ! Puis, enfin, après maintes péripéties, vous arrivez devant une porte gardée par un monstre unicorne à l'aspect peu sympathique (il va d'ailleurs essayer de vous écraser). Rentrez-lui dans le lard et passez au tableau suivant. Les scènes de la deuxième série ont un décor plus moderne, plus tubulaire. Troisième tableau : un enchevêtrement de galeries peuplées d'araignées géantes et d'ecioplasmcs divers. A chaque fois, un monstre baveux vous tend ses griffes mignonnettes. C'est une bonne adaptation au graphisme et musique correctement réalisés. AMSTAR n°14 , NOVEMBRE 87 |
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Page créée en 294 millisecondes et consultée 14151 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
