Dans le précédent numéro d'Amstar, vous avez pu découvrir ou même peut-être affronter "la Chose de Grotemburg". Cette aventure sanglante est l'œuvre de cinq copains qui sont de la région de Fougères et qui, un beau jour, ont décidé de créer leur propre logiciel de jeu... 
De gauche à droite : Nicolas, Olivier , Didier et Philippe
Il faut dire que, dès le départ, ils possédaient tous les éléments nécessaires, aussi bien au niveau matériel (ils avaient déjà les machines) qu'au niveau intellectuel... Constatez par vous-mêmes : Olivier prépare un B.T.S. de commerce international, Philippe un B.T.S. informatique, de même que Nicolas, Samuel est en première S et Didier est étudiant en arts plastiques ! Ainsi, les tâches peuvent être partagées suivant les capacités de chacun : Olivier s'occupera donc du scénario et des contacts futurs avec les éditeurs, Philippe, Samuel et Didier auront la charge des graphismes et pour ce qui est de la programmation parallèle, c'est à Nicolas de faire des prouesses... Seulement, il ne faut pas croire qu'un logiciel se réalise à une vitesse grand V ; par exemple, pour la Chose de Grotemburg, le projet a commencé à prendre forme en janvier (eh oui ! il y a déjà un an !) et les premiers contacts avec les éditeurs ont eu lieu au mois d'avril... Finalement, le contrat a été signé avec Ubi Soft qui a exercé une fonction d'éditeur bien sûr, mais également de critique et d'assistance pour obtenir le produit fini tel que vous le connaissez... Mais... ATTENTION ! ÉCRANS INÉDITS ! Comme dans toute aventure, au fur et à mesure que le logiciel prend forme, l'histoire évolue d'une part et les limites de la machine font malheureusement leur apparition, d'autre part... Nos cinq créateurs ont dû se rendre à cette évidence et remodeler quelque peu leur scénario... Ce qui nous permet de vous présenter en exclusivité quelques écrans que vous ne retrouverez jamais dans la version définitive du logiciel... Au départ, voici comment les événements étaient prévus : vous étiez tranquillement installé devant votre écran de télévision pour suivre les informations. C'est à cet instant que vous apprenez que dans un paisible village se passent d'horribles massacres qu'il est pour le moment impossible d'expliquer... De plus, quelle que soit la chaîne que vous sélectionnez, vous retombez toujours sur cette nouvelle ; vous éteignez alors votre poste et vous vous rendez dans votre cuisine... Et l'horreur commence ! Car vous découvrez votre pauvre Germaine dans un piteux état ! (la suite, vous la connaissez...) Voici donc les différents écrans des chaînes de TV représentées avec la caractéristique principale de chaque chaîne (exemple : le dessin animé pour FR3). Vous comprendrez donc que nous ne mettions pas Canal +... pour cause de censure !   
CRUELS SONT LES PROJETS ? La page de la Chose n'est pas encore définitivement tournée puisqu'il faut encore travailler pour la version cassette sur Amstrad et les versions sur les autres machines ; pour ce qui est de la traduction, il n'y a aucun problème car Obvier, tout en faisant un stage en Angleterre, en a profité pour dénicher des informaticiens anglais qui ont accepté de réaliser ce travail... Mais déjà, l'équipe a commencé un nouveau projet et celte fois, ils ira vaillent dès le départ sur Atari.
Pour avoir de plus amples renseignements, il faudra attendre quelques mois car pour l'instant, le plus grand secret est de rigueur... C.V. , AMSTAR n°17
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CPCrulez[Content Management System] v8.7-desktop/c
Page créée en 361 millisecondes et consultée 3397 foisL'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
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