L'AFFAIRE SYDNEY
                            Auteur : Gilles BLANCON


En tant que Maréchal Des Logis Chef à la Brigade des recherches de
SAINT-ETIENNE ( Loire ), vous avez déjà fait vos preuves dans L'AFFAIRE VERA
CRUZ.
Vos supérieurs misent tous leurs espoirs sur vos capacités et vous ont confié
une nouvelle enquête :
L'AFFAIRE SYDNEY.

Un homme vient d'être tué d'une balle en pleine tête. L'assassin qui a tiré de
l'immeuble d'en face devait connaître les habitudes de la victime, car celui-ci
passait tous les jours à la même heure à cet endroit...

Vous vous rendez donc sur place avec votre équipe pour effectuer les premières
constatations.
Ceci fait, vous aurez à mener l'enquête proprement dite en vous servant des
moyens mis à votre disposition.


PRINCIPE DU JEU

Qui a tué ? et pour quel mobile ?

Vous menez l'enquête et procédez tout d'abord aux constatations d'usage sur les
lieux du sinistre.
Un conseil cependant : sachez qu'une enquête ne peut aboutir sans des
constatations efficaces et complètes. Celles-ci servent de base pour les
recherches et souvent d'éléments de preuves. Tenez-en compte...

1. RUE ST-GUERAN : vous êtes sur les lieux.
La "victime" git sur le sol au beau milieu du trottoir. Un de vos subordonnés
vous avertit que l'on a trouvé des traces de l'assassin dans l'appartement d'en
face.
Avant tout, vous ne touchez à rien et recherchez le moindre indice.

DEPLACEMENT DE LA LOUPE en utilisant les touches de direction du curseur.

ZOOM SUR UN DETAIL : vous agrandissez un détail, en appuyant sur COPY
(AMSTRAD), INS (THOMSON et MSX), et F7 (COMMODORE).

Vous pouvez aussi rechercher les indices dans l'appartement d'où a été tiré le
coup de feu, en appuyant sur la touche ENTER.

Pour passer à la deuxième partie de l'enquête appuyez à nouveau sur ENTER (ou
F1 sur COMMODORE).

Attention, avez-vous bien observé tous les détails présents dans la pièce ?
Surtout ne négligez aucun indice.

Le chargement de la deuxième partie se fait automatiquement après l'appui sur
la touche ENTER (ou F1).

2. BUREAU DE LA GENDARMERIE : auditions et examens divers.

L'expérience de la Gendarmerie, en matière judiciaire l'a amenée très tôt à
s'informatiser, devançant dans ce domaine tous les services similaires des pays
étrangers.

C'est pour cela que, outre les méthodes traditionnelles telles que les
comparaisons des éléments recueillis, l'audition des personnes et les examens
divers, vous pouvez disposer du RESEAU INFORMATIQUE DIAMANT.

LE RESEAU DIAMANT vous offre la possibilité de dialoguer avec les autres
services de gendarmerie, administrations préfectorales, pénitentiaires et bien
entendu, avec la Police Nationale.

PROCEDURES D'ACCES AU RESEAU DIAMANT :

Code M ( message ).
Un message adressé à un service quelconque comporte en origine le code
informatique de ce service et sa ville d'implantation. Puis, dans le corps du
message doit figurer la nature des renseignements souhaités, avec le maximum de
précision. La réponse du service contacté arrivera sous forme de listing dans
les instants suivants.

Code I ( imprimante ).
Si vous disposez d'une imprimante 80 colonnes, cela peut vous éviter de prendre
des notes à la main. Il suffit pour garder une trace de vos éléments d'enquête,
d'appuyer sur la touche I. Pour la désactiver, appuyez une deuxième fois sur la
même touche.

N.B : N'oubliez pas de valider tous vos messages en appuyant sur la touche
ENTER.

Voici exactement les services que vous pourrez interroger :

AUTRE BRIGADE DE GENDARMERIE

Code informatique GIE + nom de la brigade.
Si vous voulez contacter la Brigade de ST-GALMIER (42) en face de DEST vous
écrivez GIE ST-GALMIER, puis vous composez votre message sous la forme
RENSEIGNEMENTS AFFAIRE X. Si cette Brigade de Gendarmerie est concernée par
cette affaire elle vous répondra en vous donnant les éléments qu'elle possède.

Il y a une brigade de Gendarmerie par ville.

BRIGADE DEPARTEMENTALE DE RENSEIGNEMENTS JUDICIAIRES

Code informatique BDRJ.
Il existe une Brigade de GENDARMERIE par département, qui, totalement
informatisée vous indique si telle ou telle personne est recherchée. Vous
pourrez donc adresser vos demandes à la BDRJ ST-ETIENNE sous la forme
suivante :
IDENTIFICATION DE DUPONT LEON. Si cette personne est recherchée vous connaîtrez
pour quelle raison et par qui.

CENTRE DE RAPPROCHEMENT ET DE RECHERCHES JUDICIAIRES

Code informatique CRRJ.
La GENDARMERIE dispose d'un centre coordinateur des recherches. Si vous désirez
connaître la fiche d'une personne connue des services judiciaires ou faire un
rapprochement sur tel ou tel objet découvert qui peut avoir une apparence
douteuse et signalée, vous contacterez ce service par CRRJ LYON et vous
composerez votre message de la manière suivante : DEMANDE DE RENSEIGNEMENTS SUR
OBJET (maximum de détail sur cet objet ) ou SUR TELLE PERSONNE (NOM et PRENOM).
Si cette personne est connue vous aurez sa photo et certains renseignements.

COMMISSARIAT DE POLICE

Code informatique CIAT.
Certains commissariats peuvent avoir traité une affaire en rapport avec votre
enquête, il peut être utile de les contacter pour avoir quelques éléments
complémentaires. Il faudra donc les appeler par CIAT MARSEILLE par exemple.
Puis composer le message sous la forme suivante : DEMANDE DE RENSEIGNEMENTS SUR
AFFAIRE X.

RENSEIGNEMENTS GENERAUX.

Code informatique DG.
La demande de renseignements généraux permet de gagner un temps considérable.
Elle s'adresse à toutes les gendarmeries. Composez le message sous la forme
suivante : RENSEIGNEMENT SUR X.

LES METHODES TRADITIONNELLES.

Option D : DEPOSITION.
Pour entendre la déposition d'une personne, il faut tout d'abord connaître son
nom et son adresse ( ou l'endroit où on peut la trouver ).

Option C : COMPARAISON DES ELEMENTS.
Vous pouvez comparer la situation d'une personne avec certains éléments
recueillis au cours de votre enquête.Mais évidemment, cette comparaison ne peut
se faire que sur la base d'une déposition.

Option E : EXAMENS DIVERS.
En qualité d'Officier de Police Judiciaire vous pouvez faire effectuer divers
examens tels que des examens balistiques ou une autopsie (AUTOPSIE SYDNEY).

Option A : ARRESTATION.
Si vous avez des certitudes sur la culpabilité d'un antagoniste, il ne vous
reste plus qu'à procéder à son arrestation.

DERNIER CONSEIL : GARE aux arrestations arbitraires. Avez-vous bien rassemblé
tous les éléments afin d'avancer des preuves indiscutables ?