★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ CYBERNOID 1 (c) HEWSON ★ |
A100% n°32 | CPC Revue | A100% | TILT |
Il a encore frappé , c'est Raffaele CECCO ( rien à voir avec la Louise Ciccone ), autrement dit l'auteur d'Exolon, un jeu qui me fit passer, à une époque, des nuits blanches devant mon CPC. Exolon était un jeu de tableaux qui se déroulait horizontalement, beau, coloré, rapide et bien sonorisé, enfin un bon soft quoi. Avec Cybernoid, le nouveau soft de notre bonhomme, cela s'annonce encore meilleur. Dures nuits en perspective devant mon écran...
DELIRIUM TRES MINCE Bon. le scénar n'est pas très original : vous devez aller récupérer des documents plus que secrets sans vous faire alpaguer. enfin je crois. Pour le délire, tu repasseras, Raffaele CECCO, mais il te sera beaucoup pardonné car ma longue expérience de CPCiste m'a déjà démontré qu'un bon scénario ne signifiait pas obligatoirement un bon jeu, et lycée de Versailles. A l'instar des superproductions hollywoodiennes, le titre. CYBERNOÏD, est plutôt engageant : la musique, genre rock mâtiné de Jean-Michel Jarre et de Vangelis. démontre une nouvelle fois que les qualités sonores de mon CPC valent largement celles de Madonna (toute ressemblance du titre de l'article avec celui d'un navet cinématographique récemment sorti et encore plus rapidement rentré est indépendante de notre volonté). Après avoir redéfini mes louches, mon index appuie délicatement sur la touche 1 de mon clavier et le jeu commence !!! Mon petit vaisseau apparaît à l'écran au milieu d'un décor genre usine futuriste. Le maniement du vaisseau est un peu déroutant au départ mais a la longue on s'y fait L'animation est sans reproche, les méchants pas beaux vous foncent dessus à vitesse grand V tout en tirant des missiles. Dans chaque tableau du jeu (qui en comporte un grand nombre), il n'y a qu'un seul et unique passage pour accéder à l'écran suivant (comme ça, au moins, on est sûr de ne pas se gourer de direction). Bien évidemment, il n'y a pas que des monstres dans ce superbe jeu ; il y a aussi des pièges mortels, tels que des ascenceurs effectuant des va-et-vient incessants, ou encore des canons tirant à intervalles réguliers. DEMANDEZ LES DETAILS ! Voilà, voilà... Well, contrairement au premier jeu du sieur Raffaele CECCO, vous avez ici la possibilité de changer d'armes, car l'équipement de départ n'est pas forcément très efficace quand on est assailli de tous côtés ; mais, pour remédier à cela, vous pourrez trouver des armes complémentaires qui vous seront remises si vous abattez certains Aliens. Pour l'instant je n'en ai découvert que deux : la boule qui vous tourne autour et vous permet de faire le ménage, et te canon dorsal qui se révèle très pratique quand une bande de lâches vous attaquent dans le dos. Mais, à force de progresser dans ce jeu délirant, je suis sûr que je vais en découvrir d'autres (wait and see, comme ils disent outre-Manche). Epilogue : le petit dernier de chez Hewson est supercool. mais il n'est cependant à confier qu'aux plus patients d'entre vous, car, moi. il y a un tableau qui me prend le tête (je vais en toucher deux mots à Robby). Test par Jérôme RICHOUX , A100% n°3 p57 |
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Page créée en 112 millisecondes et consultée 7907 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |