| ★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ ZOIDS: THE BATTLE BEGINS (c) MARTECH/TOMY ★ |
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ARTHUR ET ZOIDS Une adaptation, une de plus. On a l'habitude, merci. C'est Martech qui nous inonde aujourd'hui des versions pour Amstrad et MSX de Zoïds. On va pas y aller par trente-six chemins (j'hésitais entre les chemins et les chandelles, alors j'ai fait un compromis; je sais, c'est nul comme remarque, mais comment voulez-vous travailler correctement quand, d'une part, il y a des zigotos à côté de vous qui font un potin du tonnerre en mettant en morceaux un Commodore qui n'avait d'ailleurs pas mérité cela, et quand, d'autre part, on doit subir les engueulades sans fin d'Escapeneufgé et de Fabrice Broche, ces deux tordus qui se sont provoqués en duel et auxquels je suis prêt à fournir des bazookas ou des bombes atomiques pourvu qu'ils nous laissent en paix ensuite ?) : Zoîds sur Commodore était un jeu géant. Zoïds sur Amstrad et MSX est un jeu géant. De là à conclure que Martech est une boîte géniale il n'y a qu'un pas, que je me garderai bien de franchir d'ailleurs; je donne mon avis sur les softs, pas sur les éditeurs. Je me demande si j'ai vraiment besoin de vous rappeler quel est le but du jeu : il n'a pas bougé d'un poil. Du coup, et ce dans l'unique but d'économiser ma salive qui déjà dégouline sur mon clavier parce que j'ai faim, je ne dirai rien. Z'avez qu'à relire l'HHHHebdo concerné (et en plus, je sais pas lequel c'est, voyez-vous, alors faites des recherches et arrêtez de pleurer). Je préviens tout de suite : il va maintenant y avoir deux paragraphes identiquement semblables. C'est volontaire, respectivement : un pour la version des adorateurs de tonton Sugar (Su-sucre pour les intimes) et un autre pour les projaponisants. Choisissez celui qui vous concerne et rendez-vous trois chapitres plus bas pour la conclusion. Premièrement : Amstrad. Graphisme génial, sonorisation démente mais trop rare, intérêt certain. HEBDOGICIEL n°159 (MAI 86) |
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Page créée en 120 millisecondes et consultée 3177 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
