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Entre les deux versions de ce logiciel de karaté, on a vu arriver de nouveaux adversaires bien difficiles à combattre. Si le jeu reste très fourni, la simulation porte plus sur l'action que sur le réalisme.
Vous voici revêtu du classique kimono. Les différents tableaux de jeu vont défiler par scrolling tant que l'un de vos adversaires principaux n'entre pas dans la danse. Histoire de se mettre en jambe, la dernière version vous offre quelques créatures malfaisantes qui surgissent de part et d'autre de l'écran. Une excellente façon de tester le saut périlleux qui fera de vous le roi de l'esquive... Mais voici bientôt votre premier ennemi. Un colosse se sert de sa queue de cheval comme d'un fouet, une femme lance le boomerang, de quoi regretter la première version ! Parmi les douzes possibilités d'attaques ou de parades mises à votre disposition, vous allez apprendre à estimer les distances, à presser la gâchette au bon moment. L'animation vive et très ludique, reste peu précise quand il s'agit de toucher l'adversaire. De plus, le plan de lutte est linéaire, à savoir qu'il est impossible de contourner l'ennemi afin de reprendre ses esprits... La manière de porter les coups n'est guère évidente. Vos attaques et celles de l'adversaire vont heureusement dessiner à l'écran un bref éblouissement à l'endroit de l'impact. C'est en fait le seul témoin de votre réussite ou de votre insuccès, puisqu'il n'est d'autre bruitage que la musique (excellente par ailleurs !) qui vous accompagne tout au long du combat. Les graphismes du décor sont quand à eux particulièrement soignés. Si la première version ne présentait qu'une unique scène de jeu, Yie ar Kung-Fu II s'agrémente de nombreux temples et jardins. A noter également de courtes animations pleines d'humour qui mettent en valeur la bonne humeur du programme. On reste loin, cependant d'une véritable simulation...
TILT n°39 Fev87 |
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Page créée en 541 millisecondes et consultée 7752 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
