★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ THE NEW ZEALAND STORY (c) OCEAN ★ |
A100% | AMSTAR | MICRONEWS | PREVIEW GENERATION 4 | GEN4 |
La Nouvelle-Zélande. Ses boomerangs, ses moutons et ses kiwis.Hormis ces clichés, que connaît-on de cette île des antipodes ? Dommage, car après avoir vu le film néo-zélandais Bad Taste (monument d'humour gore et de paysages verdoyants), l'envie d'en savoir plus sur ce pays cousin de l'Australie me titillait le néo-cortex cervical. Du coup, ce jeu sympa tombait à pic, comme dirait mon pote Colt Silver. L'Histoire de la Nouvelle-Zélande. nouveauté Océan, a pour héros Tiki le kiwi. Comme dans tout jeu d'arcade qui se respecte, il est opposé à un horrible Wally Walruis. sorte de morse craignes et glouton. Cet estomac sur pattes a en effet enlevé vingt compagnons de Tiki, qui va devoir pourfendre ce morse psychotique avant qu'il ne dévore tous ses potes. ISTONBA POUR MOB VOLANTE ! Kiti se déplace dans des pièces formées de plate-formes, d'escaliers, d'étendues d'eau grouillant d'ennemis (durée de plongée limitée), ou sur divers véhicules lui permettant de voler. Chaque niveau correspond à un sauvetage, et au bout du quatrième, apparaît une baleine tueuse. Mais avant d'atteindre les prisonniers, Kiti sera confronté à différents adversaires r qui font tout pour lui mettre des boomerangs dans les pattes. Un véritable bestiaire néo-zélandais, avec lapins lanceurs de boomerangs (en tirant dessus, on fait un superbe retour à l'envoyeur, hé ! hé !), chauve-souris vampires ou grenouilles venimeuses.
Il y en a d'autres, mais, désolé, les graphismes ne sont pas assez expressifs pour que je les reconnaisse. Bien sûr (classique), les ennemis dégommés se transforment en options à ramasser. Cela va de la bombe donnant un tir plus intéressant que les flèches, de la vie. etc. Pour la mob et le ballon volants, on les obtient façon Kébra : en les piquant à leur possesseur. DONNE-MOI TON CANARD ! A partir du niveau 5, les labyrinthes se compliquent et les véhicules que peut utiliser Kiti se multiplient. On a ainsi droit à toute sorte d'"hélicoptères" surréalistes, comme des mobs-canards, et même. 6 plaisir suprême du fan d'arcade, à une soucoupe d'acier équipée de lasers. Attention aussi aux oiseaux noirs largueurs de bombes. Bien que je sois sûr qu'un fidèle d'Amstrad Cent Pour Cent (et donc, as du joystick) peut se tirer des situations les plus dures sans sourciller. J'AIME LE KIWI Et la réalisation, alors ? Tout d'abord, il faut savoir que N.Z. Story n'est pas utra-rapide comme Skweek ou Bumpy. Même si le temps est compté et précieux (une créature invincible poursuit les plus longs). le soft demande simplement de l'attention, et une certaine pratique. Et on s'éclate, grâce à des niveaux bien étudiés et à des situations assez variées pour ne pas lasser. Autre intérêt pratique : le kiwi redémarre de l'endroit où il a été tué. Côté graphisme et animation, on a déjà vu mieux, mais c'est suffisant pour ne pas gâcher les qualités ludiques. Bref, si vous aimez le style, vous passerez un bon moment avec ce soft original, Matt MURDOCK A100% n°19 |
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Page créée en 262 millisecondes et consultée 7303 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |