★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ SUPER SKWEEK (c) LORICIEL ★ |
A100% | JOYSTICK | TILT n°88 |
Depuis qu'il ont créé Super Skweek, le patron de Loriciel chante à tue-tête: « Quaaaand il me prend dans ses braaaas, qu'il me parle tout baaaas, Je vois la vie en rose-uuuu » .
Skweek avait fait parler de lui en son temps. Super Skweek arrive, avec comme héros principal, le cousin de Skweek. A nouveau, il va devoir repeindre l'intégralité du sol de quelques îles en rose. Avec une action vue de haut, la petite boule de poils que vous contrôlez va devoir passer sur chaque case formant l'île pour la repeindre. Dispersés un peu partout ou apparaissant à l'improviste, des bonus lui permettront de gagner des sous ou des options, et il y a une splendide case, présente dans tous les niveaux, grâce à laquelle vous pourrez accéder à la boutique, pour acheter des options. Donc, du coup, avec un peu de jugeote, vous pouvez avancer plus rapidement, prendre des virages serrés, avoir d'autres armes, gagner du temps pour repeindre l'île, etc. Autour de vous, des ennemis risquent de vous voler une vie sur les huit disponibles en début de jeu et rien qu'en vous touchant, c'est pourquoi vous portez une arme. La particularité de cette suite, ce sont les zones de dalles à repeindre, installées en hauteur. Pour y accéder, vous devrez vous positionner sur une des dalles prévues à cet effet, et cliquer. Mais attention, contrairement au bon vieux plancher des vaches, vous vous casserez la gueule si vous foncez vers les extrémités. L'avantage c'est qu'on peut accéder à n'importe laquelle des cinq îles en début de jeu, grâce à un menu. Mais ça ne veut pas dire que vous pourrez arriver à les repeindre toutes entièrement. Une agréable musique rythme style animation de manèges vous accueille dès le programme lancé. Elle disparaît ensuite pour laisser la place à quelques bruitages un peu décevants par rapport à ce qu'on avait l'habitude d'entendre sur les autres versions, et ce sera tout à propos du son. Visons les graphismes, qui sont clairs et bien dessinés, et correctement colorés, ce qui donne une ambiance agréable à ce jeu, devenant tout à coup convivial et sympathique. Puis vient l'animation, qui jette une ombre sur le tableau, car les personnages sont trop lents pour entraîner le joueur dans une folle et enthousiaste course à la montre, comme ça devrait l'être; sans parler du scrolling horizontal et vertical qui se fait par blocs. Mats malgré cela, le jeu reste amusant et captivant, et ton peut prendre un pied certain à manipuler ce descendant direct de la famille Pac-Man. GRAPHISME : 16 Testé par KA! , Joystick fev91, p155 |
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Page créée en 026 millisecondes et consultée 6485 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |