★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ STRIP POKER 2 PLUS (c) ANCO ★ |
A100% | AMSTAR&CPC |
Salut les p'tits sous ! Je sais, vous commencez à vous impatienter, vous vous dites qu'une fois n'est pas coutume, votre inspecteur préféré ne réussira pas sa mission. Eh bien, détrompez-vous...
REPOS DU GUERRIER Dans ma longue carrière, jamais je n'avais été aussi près d'échouer, pour tout vous dire, j'ai failli y laisser jusqu'à mon dernier imper, j'vous raconte pas l'angoisse (voix off : "Dommage, j'aurais aimé que ru me racontes. -Mais si j'te raconte." : citation d'un célèbre inconnu). J'entrai dans l'arrière-salle enfumée où devait se trouver mon contact. Je m'attendais à l'habituelle faune de ce genre d'endroit (vous savez, les indics ne sont pas souvent des premiers prix de beauté, à part Robby les Bons Tuyaux qui est le plus beau), aussi quelle ne fut pas ma surprise lorsque je me retrouvai face à une plantureuse créature brune et un paquet de cartes. Je sentis qu'il allait falloir jouer très (collé) serré.
Je pris place face à mon adversaire et attendis la première donne. Cette première main ressemblait plutôt à une seconde. Un 8, un 9, un valet, une dame et un as se battant en duel, c'était plutôt faible (dommage que les cartes ne soient pas réellement dessinées, mais l'intérêt est ailleurs pour ce genre de programme). Mais je ne me laissai pas démonter et posai cinq dollars (en V.O., bande de petits veinards) sur le tapis. Ma partenaire sur ma chérie... euh, surenchérit de dix dollars, je suivis et attendis les nouvelles cartes. J'en redemandai une, et jetai l'as. Donna (j'avais oublié de faire les présentations) en reprit trois. Ma nouvelle carte était un 2 de cœur. Je me retrouvai dans une impasse dont seul un coup de bluff pourrait me sortir. Je montai sur l'annonce de Donna (en tout bien tout honneur s'entend, nous sommes un journal comme il faut), qui flancha devant tant de sang-froid. Elle m'annonçait que j'avais gagné et qu'elle allait ôter sa blouse lorsque, soudain, j'entendis : "Le dîner est servi, éteinds-moi cette foutue bécane avant que ça ne refroidisse !," J'aime ma femme (grincement de dents). Test par Inspecteur Budget , A100% |
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Page créée en 498 millisecondes et consultée 4355 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |