| ★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ PURPLE SATURN DAY (c) EXXOS ★ |
| MICRONEWS | A100% | MICRONEWS n°16 |
Après le succès de Blood, pas mal de gens attendaient le nouveau Exxos au tournant. C'était sous-estimer Bouchon et Remi Herbulot. C'était également faire grave injure à "Lui", qui sait mieux que personne donner à "Eux" l'énergie de nous concocter une merveilleuse rareté : un jeu intelligent, beau et rigolo. Une quasi œuvre d'art.
Saturne, le 13-9-122 (données locales non corrigées). Confortablement installé devant mon holoviseur, me voici prêt à assister aux grands jeux intergalactiques que le comité organise chaque nouvelle année pour célébrer l'aurore violette. Les participants, venu des quatre coins du continuum, assistent pour le moment au discours d'introduction. Il y a les Croolis, les Bulul, les Kumo et on trouve même quelques Terriens, que leur manque de tentacules rend si pénible à regarder. Comme par le passé, le comité a tiré au sort 4 épreuves. Ont été retenues : le Ring Pursuit, le Tronic Slide, le Brain Bowler et enfin le Time Jump. Je remarque qu'une fois de plus, le podium est envahi d'une foule de bébés de foutes races qui me semble être en nette expansion d'année en année. Bizarre... Mais qu'importe, me voilà en train de radoter comme un ancien combattant de Shaaxa alors que les participants sont déjà installés devant leurs consoles de contrôle de type GX4000 , le joystick ou la souris bien en main ou en tentacule suivant leur analomie. Les épreuves se font deux par deux. Voici le Ring Pursuit. Aux commandes d'un vaisseau de course, il s'agit de slalomer entre deux 'bouées'qui flottent dans l'espace. L'épreuve -un Kumo atteint de prurit des écailles s'en douterait-doit son nom au toit qu'elle se déroule dans la ceinture d'astéroïds de Saturne. C'est superbement réalisé. Allez, va pour hyperbement réalisé. Détail sympathique, le comité s'est arrangé pour qu'aucune épreuve ne soit mortelle. Vient ensuite le Tronic Slide qui se déroule quelque port dans l'espace, sur un plan hérissé de cristaux semblables à des menhirs. Comment gagner ? C'est simple : les deux adversaires pilotent chacun un petit vaisseau muni d'un laser à l'avant. L'engin peut avancer et tourner à 90°. Il faut tirer sur une boule d'énergie pour la faire éclater en une myriade de pépites. Ensuite, il n'y a plus qu'à les ramasser et à chercher une nouvelle boule énergétique. Bien entendu, le pilote adverse en fait autant et, ô joie, il joue de façon très intelligente. Détail amusant, les cristaux poussent de plus en plus pendant la partie. Ensuite arrive mon épreuve préférée : le Brain Bowler. Toute description d'un jeu aussi génial étant vouée à l'échec, je préfère vous inviter à en faire une partie quant vous passerez par notre belle planète. J'imagine déjà votre surprise lorsque vous découvrirez la 3D fabuleuse, les bruitages digitalisés digne de Tron et le jeu lui-même, aussi inédit que plaisant puisque prenant en compte la notion de profondeur ( au propre et au figuré ! ). Ne serait ce que pour le Brain Bowler, P.S.D. vaut le coup I Le dernier jeu, Time jump, est un saut en longueur... dans le temps ! Une première partie permet au joueur de charger son vaisseau spatial en énergie. Il doit pour cela détruire des particules Bottant dans l'espace. Voilà pour l'arcade. Ensuite, le saut en question se déroule comme une sorte de slide-show psychédélique (P.S.D. 25 ?), Plus le joueur a emmagasiné d'énergie, plus le saut lui permet d'aller loin dons ce slide-snow digne de la fin de 2001, l'Odyssée de l'Espace. Bien entendu, les épreuves se terminent par le bisou au vainqueur. Voilà, c'est la fin des jeux intergalactiques : cette année, les organisateurs se sont surpassés dans leur choix des épreuves. Décidément, Exxos est vraiment très fort puisque tout est parfait dans P.S.D. : graphismes, animations, son, scénario, concept et mode d'emploi, hiam tôt zogio hulu, très sincèrement. CM , Micronews n°16 |
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Page créée en 475 millisecondes et consultée 5685 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |