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A vos risques et périls Méfiance, le chargement de celte cassette risque de vous plonger dans une histoire pas très claire. Une puissance étrangère se livre à un odieux chantage aux dépens du gouvernement des U.S.A. afin d'obtenir la libération d'agents secrets emprisonnés. Une bombe à retardement a été déposée dans un hôtel abritant une unité du F.B.I. Votre malchanceux prédécesseur a été capturé par l'ennemi après avoir localisé l'engin. Heureusement pour vous, cet émule du Petit Poucet a semé en chemin des indices grâce auxquels il est possible de retrouver le code d'arrêt de la minuterie.
Vous débarquez à l'hôtel, qui apparaît en coupe à l'écran, avec pour tout bagage voire fidèle Smith et Wesson. D'un mouvement de joystick vous pouvez aussi bien taire feu, sauter ou plonger au sol que vous déplacer ou examiner et saisir des objets... Des sinistres individus en impers mastic et chaussures à clous sont à vos trousses et vous canardent copieusement, arpentant des étages qui communiquent entre eux par des multiples ascenseurs. Le lieu se révèle être un véritable nid d'espions à tel point qu'on peut se demander s'il ne serait pas finalement préférable de le laisser exploser. Qu'à cela ne tienne, vous partez à la recherche du passe ouvrant les portes des chambres . Dans l'une d'elles dort le porteur qui détient la clé de la sortie de secours . Vous savez ce qu'il vous reste à faire. Si vous ne parvenez pas à accomplir votre mission avant expiration de l'ultimatum — le temps et les vies vous sont comptés — , vous verrez votre écran secoué, par des éclairs attestant l'issue fatale. Le moins qu'on puisse dire est que ce jeu ne manque pas de gags. Vous voulez des exemples ? Pas de touche « pause » pour suspendre l'action : il vous suffit pour cela de vous asseoir dans un des fauteuils qui traînent dans les couloirs. La pendule fera entendre son carillon si vous tentez de l'examiner. Une blonde de charme apparaîtra peut-être dans l'entrebâillement d'une porte que vous aurez entrouverte. Vous pourrez aussi saouler le barman afin de lui extorquer d'utiles renseignements, mais faites attention à ne pas trop boire vous même. En outre, l'hôtel en personne ne manquera pas de vous défier au poker ! TILT n°35 Oct 86 |
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Page créée en 368 millisecondes et consultée 7259 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
