Népharia annonce dès son chargement la couleur : “jeu d'aventure de caractère très méchant de par sa difficulté et son analyse syntaxique”. On vous propose alors de l'insulter “pour voir”. Ne vous en privez pas surtout que vous aurez de bonnes raisons... (essayez un mot de cinq lettres commençant par M et finissant par E...). Le but est de vous évader du Bagne aux multiples pièges, de braver le désert infernal qui l'entoure et reconquérir, Prince Marc, votre trône usurpé. Un bon conseil, dans ce genre de jeu, mieux vaut tout noter. Regardez bien les dessins, ils sont — paraît-il — de véritables mines de renseignement...Les scènes de présentation sont très belles, le graphisme semble très soigné. Par contre, si vous trouvez comment débuter dans cette aventure, écrivez-le nous... Oh là là... Pour fanas d'aventures, nuits blanches assurées. De notre coté, si on trouve des solutions, on vous le fera savoir... Pour l'instant, je suis bien au secret dans le cachot de Népharia et me demande comment en sortir. Le graphisme du premier tableau, que j'ai eu tout le loisir d'admirer, est bon. Comment sont les autres ? Il paraît qu'il existe quatre-vingt salles dans ce maudit lieu et que, dehors, outre tous les dangers, 1600 lieues de désert vous attendent... Amstrad Magazine n°6 |