| ★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ L'ANNEAU DE ZENGARA (c) UBI SOFT ★ |
| TILT | Arcades |
Quel plaisir d'être libre et sans contrainte, de pouvoir se rendre à l'endroit que l'on veut au moment où on le veut... C'est conscient de cette grande “faveur” que je poursuis mon chemin à travers la forêt du royaume de Shengar lorsque le hasard (est-ce bien lui vraiment ?) me met en face d'un vieil homme agonisant qui me tend la main ; instinctivement je me porte à son secours en lui tendant la mienne... Que n'ai-je pas fait là !Un anneau s'est glissé autour de mon doigt et il est impossible de le retirer ; je me souviens alors que le vieillard a prononcé dans un souffle “Zengara”. Le secret de l'anneau se trouve peut-être là ? Une fois dans la ville, je rencontre Valdor, astronome de son état, qui m'apprend les origines de l'anneau : autrefois, le roi Turkas avait demandé à son magicien de confectionner un anneau qui empêcherait sa femme d'être infidèle ; seulement, après la mort de celle-ci, l'anneau s'est transmis de doigt en doigt maudissant à chaque fois la personne qui le portait. Un jour, l'anneau se retrouva sur la main d'un magicien qui découvrit une formule pour s'en débarrasser ; il l'écrivit sur un parchemin et, malheureusement, le parchemin lui fut volé et le magicien mourut... Il ne me reste donc plus qu'à retrouver ce parchemin. Le vieillard de la forêt m'avait dit Zengara ; mais la ville est bien grande, alors vers où orienter mes recherches ? Soudain, je me rappelle qu'après Zengara, il avait ajouté quelque chose... Un petit effort de mémoire finit par me rappeler les deux mots auxquels je n'avais pas prêté attention : “la Tour”. Lorsque j'en fais part à Valdor, celui-ci m'apprend que la Tour est la propriété de Shadar, prince des voleurs et des brigands, le plus cruel des personnages que je puisse affronter ! Enfin, quitte à mourir, autant que ce soit après avoir combattu !
Testé sur AMSTRAD CPC
Arcade n°8 |
| ![]() |
Page créée en 739 millisecondes et consultée 5619 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |