★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ JAMES BOND 007: THE SPY WHO LOVED ME (c) DOMARK ★ |
A100% |
L'ESPION QUI M'AIMAITEncore un ? Je me demande quand ils vont arrêter de nous faire des conversions de James Bond, surtout que celui-ci ne date pas d'hier. Vous me direz, il doit, quelque part aux fins fonds des caves Sarcelloises, exister des collectionneurs de cette saga.
EN VOITURE La première scène du jeu représente une vue aériene (les autres aussi). La voiture est prête à bondir (ouf, ouf) avec à son bord les deux héros, quoique je ne dislingue pas les passagers (ant les dessins sont petits. Un coup sur le champignon et c'est parti. Dans un scrolling horizontal, on tourne vers la droite pour revenir un peu plus tard vers fa gauche. Encore à droite et toujours à gauche. On doit récupérer des bonus qui seront monnaie d'échange contre plusieurs types d'armements lors du troisième level. Il faut absolument éviter les flaques d'huile pour que James ne perdre pas le contrôle de la voiture. Après un long moment, celle-ci arrive près d'un quai. EN BATEAU C'est reparti, mais cette fois nous ne sommes plus sur route mais à bord d'un « offshore ». On doit éviter les avancées de quai comme les quelques bateaux ennemis qui ne poseront pas irop de problèmes à notre héros. Bien plus tard, le bateau arrive en fin de course et les héros remontent dans une autre voiture; et c'est reparti mon kiki. Encore des routes avec plus de flaques et toujours des bonus. Cette fois, on trouvera des taches de couleur (la notice full angliche nous apprend qu'il s'agit de piétons) qu'il vaut mieux éviter, ainsi qu'un camion à bord duquel seront achetées de nouvelles armes. YA MA GOUROU ? Je reprends la notice pour me rassurer. En effet, j'ai l'impression que je me suis fais rouler quelque part. Mais di-diou, c'est bien sûr ! La plupart des scènes intéressantes du film comme l'attaque dans la forteresse de Stromberg, ou la reprogrammation des missiles nucléaires ou encore le combat avec « machoir d'acier » sont réservés aux versions 16 bits. Et nous, on compte pour du beurre ? En deux mots, vous voyez le titre du jeu là-haut (le titre du papier) ? Vous le voyez également en bas (avant la note) ? Eh bien on aurait pu l'appeler « La vie secrète de Pierre Valls » que ça n'aurait rien changé. En effet, si la notice ne le disait pas, ainsi que la musique d'intro, rien ne m'indiquerait qu'il s'agit d'un James Bond... Poum 008 , A100% n°32 , Mars 91
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Page créée en 476 millisecondes et consultée 3841 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |