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Enfin un nouveau FTL Hydrofool, qu'il s'appelle Et il porte bien son nom, le bougre (je rappelle à ceux qui se moquent là-bas au fond, que "fool" en anglais signifie "fou"). Parce que c'est vrai qu'il est complètement fou. Mais jugez-en plutôt.
L'Histoire. Sweevo, a dit le bon vieux "Maître Robot", va nettoyer le Deathbowl". Et comme le vieux Maître Robot avait un fusil, Sweevo est allé nettoyer le Deathbowl (pour ceux qui ont une culture d'humoriste distingué, je signale que ces deux phrases sont à prononcer avec l'accent corse). Non sans prendre ses précautions, car avant de partir, il a lu le "Guide du Parfait Aquario-phile Galactique", dans lequel il est inscrit : "le Gigantesque Aquarium Galactique Autonome (G.A.G.A.) est depuis des lustres pollué. Le seul remède à cela est de le vider entièrement de toute son eau, en enlevant chacun des quatres bouchons principaux. Pour en savoir plus, se reporter à l'article 412.258,12 ter du G.P.A.G. Bonne chance, Jim.". Or donc, voilà notre Sweevo national parti en campagne anti-pollution, armé uniquement de son courage et de son intelligence, qui ne seront pas de trop pour défaire toutes les méchants Aliens qui infestent impunément le grand G.A.G.A. Bouh ! Dès la page de présentation, on sent qu'on ne va pas s'ennuyer avec Hydrofool : il est délirant. Et le mot est faible. Il faut le voir pour me croire. Ensuite, la musique. C'est beau, c'est propre, c'est net. Elle est entraînante, drôle, bref, délirante. Et le mot est faible. Il faut l'entendre pour me croire. Le joueur a le choix entre le clavier et le joystick, et c'est grand. C'est très grand (note perso : salut Pierre !). Le héros peut se déplacer selon six directions : gauche, droite, avant, arrière, haut et bas. "Mais", medirez-vouscar vous êtes des lecteurs attentifs et intelligents, "comment peut-on fournir six directions avec un joystick?" C'est très simple : on ne peut pas. Pour monter, il faut que Sweevo se positionne sur une bulle d'air, qui agit alors comme un ascenseur, tandis que pour descendre, il doit utiliser les tourbillons qui se trouvent disséminés çà et là. Pour tuer les vilains, Sweevo peut disposer d'armes diverses qu'il trouvera au fur et à mesure de sa quête. Le jeu se présente exactement comme les "Knight Lore" et "Alien 8" ancestraux : décors en perspective, graphiques en mode 1, un labyrinthe à explorer, des tonnes de salles différentes, des monstres sympathiques, etc. C'est incroyable. C'est délirant. Et le mot est faible. Il faut l'avoir pour me croire. Pourtant, on ne peut s'empêcher de rire carrément lorsque Sweevo se fait choper par un intrus, par exemple. Les attitudes du héros et des vilains sont extraordinairement drôles. Délirantes. Et le mot est faible. Il faut le... Vous m'avez compris. Bref Bref, c'est un excellent logiciel que FTL nous propose là. Stéphane Schreiber , AMSTRAD MAGAZINE n°26 |
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Page créée en 653 millisecondes et consultée 4872 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
