★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ HOTSHOT (c) ADDICTIVE GAMES ★ |
A100% | MICRONEWS |
Ils ne savent vraiment plus quoi inventer, en cette fin de XXIème siècle ! Les jeux sportifs que l'on nous présente sur les écrans vidéo des salles de repos sont de plus en plus surprenants. Le dernier en date est une espèce de flipper casse-briques qui se joue à deux joueurs. Emotion et hémoglobine garanties.Bien sûr. je me suis encore engagé dans une galère pour vous faire plaisir. Il a fallu que je m'inscrive à ce championnat à la noix de Hotshot. Mais surtout ne le dites pas à mes parents, ils me croient journaliste dans un canard d'informatique ludique ! J'ai dû apprendre tes règles de ce nouveau jeu. qui est présenté comme un véritable sport en plus. Bon, c'est à moi d'entrer sur le court. Mon premier adversaire est un Scrounlch, un habitant d'une des dernières planètes colonisées. Sa vue me glace un peu d'effroi... Tout ce que je peux vous dire, c'est qu'il n'a rien d'humain. Heureusement que nous sommes dans deux cuvettes séparées. Je vérifie une dernière fois mon pistolet Graviton. du nom de son inventeur. Une défection de ce petit joujou et c'en est fini du grand Lipfy. Bon, la balle de plasma est de mon côté, je vais donc engager. Au-dessus de ma têle, un mur de briques attend que je le désintègre. A FAIRE FLIPPER La balle de plasma part comme une boule de flipper (qui roule...). Je dirige le canon du graviton et attire la boule. Attention, à la moindre fausse manœuvre, si la balle me touche au Heu d'aller se loger au bout de mon canon, j'explose. Heureuse ment la machine récupère toutes mes cellules et recolle les morceaux. La balle au bout du canon, je vise, sur le côté, la glissière qui me permet de la faire passer au-dessus du mur. Je dois me dépêcher car si mon graviton surchauffe, j'explose, laissant ainsi l'avantage de l'engagement à mon adversaire. Zut ! j'ai loupé la gouttière et mon adversaire en a profité pour me subtiliser la balle. Pendant qu'il joue, je ne reste pas inactif. Je me sers de mon graviton. soit pour attirer la balle vers moi. soit pour la faire dévier des trajectoires qu'il lui donne. Avec un peu de chance, il loupera la réception de la balle et pfuit... le plasma le désintégrera. Ce premier adversaire n'est pas trop coriace. Entre deux parties, un tableau. vraiment style flipper, me permet d augmenter mon nombre de points pour passer au niveau supérieur. J'arrive à mettre la balle sur son point de régénération. Ma qualification est assurée. Le tableau suivant ne sera pas aussi facile. Ce coup-ci, mon nombre de vies est limité maïs pas le temps. Dans certains tableaux, il faudra que je noie mon adversaire en crevant des briques pleines d'eau. Le dernier niveau sera même un duel à mort, puisque, à chaque fois qu'un des joueurs est touché, son arène se rapproche d'un trou qui le détruira à jamais, laissant l'autre joueur champion toutes catégories de la galaxie. DU GRAND ART D'un graphisme très fin (en mode 1), d'une animation aussi bonne que rapide HOTSHOT est un soft vraiment très sympa, même si les couleurs choisies sont un peu « adegueulbif ». On peut choisir d'incarner cinq personnages, chacun ayant des caractéristiques différentes. Franchement, pour une simulation de sport qui n'existe pas, on s'y croirait. Un jeu vraiment bien adapté au CPC et vraiment éclatant, surtout à deux joueurs. Lipfy 2017 , A100% n°8 |
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Page créée en 183 millisecondes et consultée 4095 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |