★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ HIGHWAY ENCOUNTER (c) VORTEX SOFTWARE ★ |
A100% | AMTIX | Hebdogiciel | CAHIERS DE L'AMSTRAD MAGAZINE n°6 |
La vie de robot n'est pas exactement douillette. Seuls les humains, nos concepteurs, peuvent se la coûter douce à mater par nos yeux, bien planqués dans leurs conapts souterrains pendant que nous nous faisons sauter la gueule à explorer les planètes de lointains systèmes solaires. Pour ma part j'appartiens à la série Clone 5. ce qui signifie que je circule en permanence avec mon équipe de quatre clones. Pas de frictions envisageables dans une structure où nous sommes tous identiques. Lorsque l'un disparaît, un autre prend 'immédiatement sa place.
Nous pourrions faire notre cette devise remontant aux âges préhistoriques : "toujours prêts, toujours présents". Nous venons d'atteindre le système Polonius V. La double étoile qui sert de soleil aux quelques planètes du coin perturbe sérieusement les éclipliques de ces dernières. Je me demande bien ce qu'on va pouvoir trouver dans un trou pareil, en plus à la limite de la galaxie. On attendra un peu pour aller se faire une orgie électronique sur Paradisiatroa. La septième planète présente les caractéristiques d'un monde habité : émissions radio, lumières citadines en période nocturne, pollution... La durée du jour locale équivaut â soixante sept heures standard, partagée en deux périodes diurne et nocturne parfaitement inégales. L'hémisphère sud semble le siège d'une activité frénétique, nous irons donc débuter notre exploration par les zones les moine peuplées. Direction 40ème parallèle, hémisphère nord, latitude 120 degrés. Nous sommes posés sur une gigantesque structure dallée, apparemment inutilisée bien que rigoureusement neuve d'aspect. Nous avançons vers l'ouest, vitesse d'exploration, capteurs vides, détecteurs de masse inertes. Le paysage vaut Ee coup d'œil de ce point de vue sure-levé. A perte de vue s'étendent des forets multicolores. Détection d'obstacles droit devant, pas de vie signalée. Je dégage la roule pour les clones. Nous continuons notre route sur un rythme un peu plus prudent. Les premières formes de vie locale viennent d'apparaître sur nos écrans. Rien de bien nouveau sous -le soleil : ces aliens ressemblent de près ou de loin à de nombreuses formes déjà vues, répertoriées ou inventoriées. Argh ! Etes présentent quand même une particularité inconnue : mes clones et moi-même explosons comme des baudruches au moindre contact. L'enfer. Ce logiciel, émanant directement d'une maison d'édition totalement inconnue, vous permet de jouir d'un réel confort dans les trois dimensons grâce à une superbe astuce de programmation. Ce magnifique jeu d'arcade tient ses promesses et retiendra votre attention pour de nombreuses heures, pour peu que vous aimiez tes jeux d'arcade subtils (la réflexion se révèle indispensable pour franchir certains passages). Un très bon soft à ne pas manquer. Hebdogiciel n°104 |
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Page créée en 048 millisecondes et consultée 6391 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |