★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ GALACTIC CONQUEROR (c) TITUS ★ |
AMSTAR&CPC | A100% n°10 (PREVIEW) | A100% |
Nous avions déjà parlé de la préversion dans le numéro précédent, voici enfin le test de la version définitive de ce soft. Attention, plus question de rester tiède, tout, je vous dirai tout sur ce soft. Après Titan, Titus revient à ses premières amours. En effet, Galactic Conqueror reprend le défilement de Fire and Forget et de Off Shore Warrior, même avec un petit plus, qui en fait un jeu assez intéressant. Des invasions galactiques, on en a vu déjà pas mal dans le milieu, mais celle-là eu particulièrement bien faite. La présentation est honorable, malgré une musique digitalisée qui laisserait froid un vaisseau du désert, mais ne nous attardons pas sur des détails. LA PLANETE BLEUE Ah, le premier combat, comme c'est émouvant. Largué du vaisseau mère juste au-dessus d'une jolie petite planète bleue, involontairement tombé aux mains des rebelles, je lance mon Thunder Cloud II à l'assaut des premières vagues d'adversaires. Mes passages en rase-mottes font un rmilhcur. Pourtant, il n'est pas toujours facile de se frayer un passage au milieu tles différentes lignes de défense qu'ils ont mises en place. Heureusement. mon bouclier me protège des ennemis un peu trop vindicatifs ; il est représenté par une bande rouge en bas de mon écran. Lorsque celle-ci disparaît je peux faire une croix sur mon vaisseau, mais cela ne veut pas dire que la partie est finie, loin de là. La partie ne s'arrête que lorsque le joueur le décide, parce qu'il doit aller faire les courses, chercher sa petite sœur à l'école, ou si son joystick a rendu l'âme, ou encore quand la planète centrale de la galaxie est tombée aux mains des rebs (oui, c'est le surnom des rebelles). Si, en cours de combat, vous voyez votre bouclier faiblir dangeureusement, vous avez deux possibilités : soit vous laissez éclater, la fédération n'est pas à un vaisseau près et comme vous avez été clone avant votre largage ... soit vous enclenchez le bouton d'urgence et vous vous retrouverez directement téléporté dans le vaisseau mère. Dans les deux cas la planète reste aux mains des adversaires. Les rebs envahissent alors d'autres planètes et se rapprochent du centre de la galaxie. il faut donc bien choisir, sur la carte, la planète qui bloquera leur avance. DES DEFENSES EN BETON Comme je vous l'ai dit la dernière fois, la libération d'une planète se déroule en trais phases. Dans la première, le vaisseau se déplace verticalement et latéralement, reprenant en cela ce que l'on pouvait trouver dans Mach 3, à la différence que les décors sont ici moins riches ou, comme dans ATF, avec une moins grande liberté d'orientation. Au deuxième niveau, en dehors du fait que l'on voit toujours le vaisseau de dos, les rtossibilîtés ressemblent plus à ce que l'on peut trouver dans un simulateur de vol. Il est possible, pour mieux atteindre les vagues de vaisseaux adverses, d'effectuer des tonneaux, des piqués, pendant que l'horizon part dans tous les sens. La troisième phase, elle se passe dans l'espace. On ne possède donc plus de point de repère. Au début, c'est carrément surprenant, d'autant plus que la fluidité du scrolling rend ces phases très réalistes. Si l'on ajoute à cela des bruitages très corrects, on obtient un jeu plutôt réussi. GALACTIC CONQUEROR de TITUS LIPFY , A100% n°11 , p101 |
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Page créée en 338 millisecondes et consultée 5172 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |