★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ FUTURE KNIGHT (c) GREMLIN GRAPHICS ★ |
TILT | AMSTAR |
Arcade/AventureJe m'appelle Randolph, je suis comme on dit un Héros moyen. Modeste, généreux, vaillant, intelligent, etc. Je n'ai à vrai dire que des qualités. Je me suis dégoté une super nana (un canon !). Bref, je suis un homme heureux. Tout du moins, j'étais un homme heureux car un espèce de malade, un fou sanguinaire et bête, le diabolique "Spegboot le terrible", l'a enlevée. J'aurais pu la lui laisser car, après tout, les belles filles, ce n'est pas ce qui manque, (En plus il est balaise le bougre). Mais n'écoutant que son courage et les jérémiades de ses parents, je me suis lancé à sa recherche. Tout a commencé il y a quelques jours : j'ai reçu un message de détresse inter-dimensionnel lancé de SS Rustbuc-ket, le vaisseau de la princesse. J'avais oublié de vous dire qu'elle est de sang royal et qu'elle possède un fortune considérable. (Non mais, j'allais quand même pas épouser une femme de ménage ! Il faut assurer ses arrières). Ma belle Amélia donc, suite à cet accident, se retrouva enfermée dans le château de Spegbott. Le réveil sonne, je saute dans mon pantalon, enfile mon Omnibott mark IV (une combinaison de défense équipée d'un fusil laser à plasma) et pars à la station locale de téléportage. Cela commence bien : panne de courant ou grève de l'EDF, je ne sais pas, le fait est que mon départ est compromis. Heureusement, grâce au dévouement de quelques fonctionnaires en mal de sports (et d'occupations) et de vieux vélos rouilles, une installation de fortune me permet enfin de partir au secours de ma belle (et fortunée) compagne. Afin de retrouver le château, je décide donc de visiter les ruines du vaisseau pour y trouver l'indice qui me permettra de localiser mon adversaire. Diable, un comité d'accueil m'attend : mes nerfs et ma combinaison vont sûrement être mis à rude épreuve. Mais pour qui sont ces obus qui sifflent au-dessus de ma tête ?.. Ce jeu ressemble fort à un remake de Strangeloop. Le graphisme coloré, l'animation parfaite, et la difficulté sont pourtant présents. Il est vrai qu'avec le nombre croissant de logiciels sur le marché, il devient de plus en plus dur d'innover. Sous cet air de déjà vu, se cache en fait un périlleux défi qui, par sa réalisation et sa qualité, demande un maximum d'attention. Les pièges et les dangers sont nombreux. Mon manche à balai, m'a d'ailleurs souvent trahi dans des situations difficiles. Prudence, prudence donc ; des monstres se présenteront régulièrement à vous. Détruisez-les... Ils reviendront car leur anéantissement ne peut être que temporaire et ne sera donc à envisager qu'en cas extrême, soit pour faciliter un passage, soit pour éviter de perdre de l'énergie. Si vous parvenez à vous sortir des interminables couloirs du vaisseau, vous pourrez alors espérer trouver le château et combattre l'affreux ravisseur dans un combat singulier. Si vous arrivez à vaincre, alors la princesse retrouvera la liberté. Cela fait beaucoup de si, et avant qu'ils ne se réalisent tous, vous aurez derrière vous de longues soirées d'entraînement intensif ; à moins que vous ne deveniez fou avant, moi cela va parfaitement. Honga, honga ! Zut, les premiers symptômes. AMSTAR n°5 |
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Page créée en 116 millisecondes et consultée 4235 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |