| ★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ DISC (c) LORICIEL ★ |
| A100% | JOYSTICK |
Second millénaire. Un nouveau sport fait son apparition : le discaïdo. Contrairement à ce que l'on pourrait imaginer, ce n'est pas un art martial. Le principe consiste à se renvoyer un simple disque. Dans le temps, on appelait ça le frisbee...Disc vous place sur une aire de jeu réduite, constituée de huit cases. Les cases verticales, derrière chaque joueur, sont liées à celles sur lesquelles vous marche?..
VOUS AVEZ DIT TRON ? Comment ça ? Je m'explique : selon le niveau du compétiteur auquel vous faites face, vous devrez relancer de un à quatre disques. Lorsque vous l'envoyez, sa couleur est blanche et elle le reste tant que votre adversaire ne l'a pas contré. Dans ce cas, le disque devient rose, et c'est à votre tour de le contrer (bas + feu). Si vous réussissez, il reprend votre couleur, sinon il touche une des plaques derrière vous. Sur ladite plaque est gravée d'un dessin : ce pourra être le signe infini (auquel cas, la plaque ne peut être détruite), un point d'interrogation (une surprise !) ou encore une figure géométrique de une à six faces (du rond à l'hexagone) : le nombre de faces correspondant au nombre de coups nécessaires à la destruction de la dalle. Et bien sûr. l'anéantissement de celle-ci provoque la disparition de la dalle horizontale qui lui est associée... Quand je vous disais que c'était subtil comme jeu.
C'était PRESQUE BIEN Disc vous propose de participer à un tournoi, un championnat ou bien vous invite à jouer à deux en même temps, si le cœur vous en dit. Très bien ça. En fait, jusque-là, on peut dire que Disc est un très bon jeu, malheureusement trois défauts entachent ce beau constat. Quelques mots quant à la programmation : les trajectoires du disque ne sont pas toujours très visibles, et l'on est souvent frustré de voir celui-ci percuter le mur, alors que l'on avait vraiment l'impression de se trouver là où il fallait. Il aurait fallu faire une ombre au disque. Messieurs les programmeurs. Enfin, le système de figure fonctionne bien pour le personnage du fond, qui doit toucher plusieurs fois les dalles qui se trouvent dans le dos du joueur en premier plan pour les faire disparaître. Par contre, ce dernier n'a besoin de loucher les dalles du fond qu'une seule fois (quelle que soit la Figure qui y est gravée, sauf l'infini) pour le même résultat. En bref, un bon jeu, mais à la jouabilité malheureusement trop moyenne. Mais sympa, quand même. Chris, frisbee master , A100% n°43 Note : ce jeu n'est disponible que dans les compilations « Simulations Best » (qui regroupe Panza, ADS et Disc) et « Success Story II » (Disc, Skweek, Sherman M4 et Pinball Magic). |
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Page créée en 126 millisecondes et consultée 3962 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
