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LOGISTRAD |
Jack le Black au tapis vertL'enfer du jeu continue au casino Logistrad: il vient de Babylone, USA, et tout Monaco a crevé devant lui. C'est Jack le Black, qui flambe au black-jack. Retournez au Casino avec Logistrad, si vous n'avez pas tout perdu à la Roulette, le mois dernier. Le black-jack se joue avec des cartes, dans les salles de jeu feutrées de Monaco. Mais pas seulement là: on flambe aussi beaucoup, après la tombée de la nuit, en Amérique.
D'ailleurs, laissez-nous vous conter la triste et ve-ridique histoire de Jack, Jack le Black, qui gagna et perdit un empire au black-jack. Les portières de sa Cadillac blanche ont claqué devant tous les casinos, de Végas à Long Island. Depuis vingt ans qu'il hante les cercles, Jack n'a jamais dépassé vingt et un. Toujours entre dix-sept et le chiffre fatidique. Une veine unique. Pourtant, quel chemin Ce soir est le grand soir. Vingt ans sans dépasser vingt et un. Presque un anniversaire. Personne ne s'y est trompé. Ils sont tous là: Roy Earle, le chef de la mafia locale avec deux anges-gardiens à la mine patibulaire, le "privé" du Casino et même le "district" entouré d'une nuée de jolies femmes, les joues en feu, les yeux aussi brillants que leurs rivières de diamants. Ils sont là pour lui. Les cartes glissent entre les doigts de Jack, ses doigts longs et souples qui ont tant manié les cartes que la peau en est presque parcheminée. Les plaques volent sur le tapis vert. Les enjeux sont hauts, très hauts. Jack sait qu'une fois de plus, il va gagner: pas de doute. Amusé, il regarde les gouttes de sueur rouler sur le front de Earle. Une fille rit trop fort. Tout le monde est tendu, sauf lui, Jack le Flambeur. Vingt ans que la chance ne l'a pas quitté. Vingt ou vingt et un? Jack ne sait plus très bien. Voyons, vingt ou vingt et un? Le frisson qui parcourt l'assistance ramène Jack à la réalité. Tous les visages sont tournés vers lui. Jack ne comprend pas l'expression ironique dans les yeux de Earle. Une voix, celle du croupier, résonne dans sa tête: vingt-deux points annonce-t-elle, impassible. Les visages se détournent. La foule se disperse. T'es fini, Jack. Vingt ans de veine, vingt secondes d'inattention. Le black-jack, c'est pas pour les rêveurs! Sur une console d'Amstrad, il y aurait eu moins de casse. A vous de jouer. Qui sait, la succession de Jack est à prendre... Le black-jack est un pari sur le fait que la somme des valeurs de deux cartes tirées parmi 156, ne dépassera pas 21 points. Les figures valent toutes 10 points; l'as vaut 1 ou 11 points, selon le choix exprimé par chaque joueur; les autres cartes gardent leur valeur nominale.
Pour signifier à l'ordinateur que l'on a fini de regarder, il faut appuyer sur C. Quand il n'y a qu'un seul joueur, il n'est pas possible de voir les cartes
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Page créée en 472 millisecondes et consultée 1308 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |