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Arcade/Aventure Biggles est bien le nom d'un film. C'est, je crois, un cas unique dans l'histoire des logiciels puisque le programme est sorti bien avant le film. D'ailleurs, je n'ai même pas eu connaissance d'une quelconque diffusion, lu ioui cas. le logiciel, lui, est là. Biggles est le nom du héros que vous incarner. Celui-ci est pilote de chasse britannique durant la 1ère guerre mondiale. Je dis Biggles, mais je pourrais aussi bien dire Jim puisque ce dernier est le jumeau temporel du premier. Ne nous melons pas de ces histoires de Famille et reprenons le cours de noire récit. Première partie : Biggles survole le territoire ennemi grâce à un petit biplan. Son but, localiser et photographier l'arme des adversaires : le "Sound Weapon". Votre parcours scia semé d'avions agressifs et de canons anti-aériens. Autre phase : se rendre à pied jusqu'à la base d'essai, tout en évitant les fantassins adverses armés de mitraillettes et de mauvaises intentions. Quelques grenades glanées dans les souterrains vous donneront la possibilité de vous débarrasser définitivement de bunkers peu compréhensifs. Dernière étape de celle première parlie : un saut dans le temps vous amène, vous et voire double, en 1986 sur les loits de Londres (pourquoi pas ?). Il s'agit d'échapper à la police, aux patrouilles (mm les loits !) ci aux francs-tireurs.
Bien sûr , vous et vous (Biggles et Jim. si vous préférez) n'avez pas d'aunes, ce serait trop facile ! C'est donc la poitrine nue que vous vous élancerez de toits en toits. N'oublie/ pas de prendre de l'élan sinon e'esl le plantage assuré. Résultat : la réussite de ces 3 missions vous donne accès à un code secret. A quoi va-t-il donc servir ? Mais à gagner la deuxième partie. A noter éga-lemeni une caractéristique amusante du programme : lors de la première parlie, on passe d'une éiape à l'autre, sans aucune logique et dans un ordre défiant les lois temporelles. Jusque là le mode 0 et son graphisme coloré ne m'ont pas convaincu : personnages grossièrement dessinés et surtout pas de scrolling (mis à part l'étape du biplan). La deuxième partie est plus gâtée à ce niveau. Deuxième partie : retour en 1917 de Biggles et de son frère siamois, mais cette fois-ci à bord d'un hélicoptère ulira-perfeeiionnc. Vous n'échapperez pas à la traditionnelle cérémonie de l'entrée du code (celui-ci a été ou non découvert dans la première phase). Vous pouvez débuter directement avec la seconde phase, mais, sans le code, votre mission devient difficile à exéeuier. A propos, voire mission, la voici : vous devez repérer et détruire l'arme démoniaque ("Sound Weapon" pour les intimes). Le survol du champ de bataille ne va pas sans poser quelques problèmes : les camps retranchés et les av ions ennemis sont à éviter à tout prix, four le reste, faites confiance à vos instruments et à vos amis. Ces derniers vous donneront des indications précieuses sur la position de l'arme, à condition de daigner atterrir pour les prendre à votre bord. Vu de voire cockpit, le paysage défile en 3D avec moult petits arbres. L'animation est plutôt bien faite, malgré un déplacement limité de l'horizon artificiel. Tani au niveau du graphisme qu'au niveau de l'intérêt, je trouve la seconde partie plus attrayante que la première. Quel dommage d'être obligé de posséder ce code magique ! AMSTAR n°7 |
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Page créée en 372 millisecondes et consultée 6237 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |