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ArcadeAprès une journée littéralement éreiniante, je me eouehe et me retrouve immédiatement dans les bras d'Orphée (quoi de plus agréable !..). Celui-ci a décidé de me faire visiter son grenier, à en croire le lieu où je me trouve, ce qui n'est pas des plus romantiques.
Tout-a-coup, je me sens fortement attirée par une boîte mystérieuse (au fond, à gauche), ayant une seule inscription : "Plan magique des ruines d'Atahualpa". C'est l'occasion unique de visiter cette célèbre cité aztèque et de pouvoir amasser fortune... grâce aux nombreux trésors qui y sont restés, d'après la légende. Sans une seconde d'hésitation, je m'empare du précieux plan et en avant pour... Aïe !... Que se passe-t-il ? Mon dos me fait terriblement mal... j'ai l'impression qu'il va éclater ! Je sombre alors dans une demi-inconscience et lorsque je reviens à moi, je suis face à un miroir et que vois-je ? Des ailes sont apparues dans mon dos... Sans plus larder, je lais un petit essai. Quelle sensation magnifique ! Malheureusement, je suis très vite épuisée (il faudra ménager ce moyen de déplacement...).
C'est ainsi que je pars à la recherche de mes premiers trésors : un dollar "mexicain" par-ci, un diamant par-là à moins que ce ne soit un coffre ; chaque richesse correspond à un nombre de points différents et le coffre a l'avantage de doubler les points marqués ultérieurement. Hélas, chaque médaille a son revers ! Je suis prisonnière de cette cité et je ne tarde pas à découvrir qu'elle est sphérique : quel que soit le chemin que j'emprunte en ligne droite, je reviens toujours à mon point de départ. Alors, il ne me resie plus qu'à repérer tous les trésors, grâce au plan, et éviter de faire de mauvaises rencontres sous forme de toupies intelligentes ou de lunatiques sphères qui n'ont qu'un seul objectif : me réduire à l'état de tombe. Si vous vous embarquez à ma suite dans cette aventure, vous n'aurez plus qu'une idée : vous enrichir sans lin et sans reproche jusqu'au moment où vous serez étouffé de trésors et alors vous n'aurez plus qu'une seule solution pour finir : la mort ! Vous trouverez alors que cette délivrance est bien douce... après le train d'enfer que vous aurez mené sur le "Boléro de Ravel" ! AMSTAR n°4 |
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Page créée en 173 millisecondes et consultée 3231 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
