★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ ASTERIX CHEZ RAHAZADE (c) COKTEL VISION/CEDIC-NATHAN ★ |
Amstrad Magazine |
Le dernier album d'Astérix vient de sortir. Coktel Vision en a profité pour décrocher l'adaptation sur microordinateur. Si les graphismes comme dans Blueberry sont d'une qualité irréprochable le logiciel n'a rien à voir avec un esprit BD.
Monté exactement de la même façon que Blueberry, Astérix Chez Rahazade est découpé en chapitres. Chacun des chapitres étant séparé par une petite séance d'arcade de type Pacman. Le Pacman est très beau (graphiquement) mais beaucoup moins intéressant que son aïeul ! Le jeu en lui-même n'est pas vraiment un jeu. Le joueur n'a quasiment aucun rôle dans le déroulement de l'histoire si ce n'est d'écouter le discours des personnages en cliquant sur l'un d'entre eux. Tout aussi inintéressant que l'était Les Passagers du Vent, l'adaptation de BD sur micro n'a pour ma part pas du tout été compris par les éditeurs. Et dieu sait que l'on pourrait faire des softs extraordinaires. Les cases, les bulles, enfin tout ce qui fait le charme d'une bande dessinée, peuvent certainement trouver en l'ordinateur un essort nouveau. Bien sûr cela demanderait de la part des programmeurs un tant soit peu de dépense de matière grise... Je ferais la même remarque que pour Blueberry : le soft n'a d'intérêt que pour ses superbes graphismes et pour les collectionneurs. Amstrad Magazine n°29 |
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Page créée en 266 millisecondes et consultée 4115 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |