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Wargame
Avec un titre comme celui-ci on se doute bien que l'on ne combattra pas des armées blindées ou des chasseurs de combat. Que voulez-vous, en 273 avant J.C. on ne connaissait pas encore les joujous qui font la joie de nos militaires! Mettons-nous donc dans la peau d'un Sénateur romain et endossons la toge des patriciens. La tâche sera rude, Rome est sur son déclin : l'Empire s'effrite, les Barbares menacent aux frontières, les Carthaginois, les Perses et 11 autres peuples vous déclarent guerres sur guerres. De plus la situation économique et sociale n'est pas meilleure : l'argent et l'or, nerfs de la guerre, viennent à manquer, et les lourds impôts prélevés ne sont pas particulièrement populaires. Heureusement, pour vous aider à maîtriser la situation, une carte et des légions loyales sont mises à votre disposition. Plusieurs phases de jeu s'offrent à vous : Tout d'abord la phase économique où l'état financier de l'Empire est calculé à partir de la croissance de la population. A Rome vous avez la possibilité d'augmenter les taxes, ce qui amènera une certaine ambiance parmi les Romains. 3 autres phases concernent votre entourage : Les Sénateurs, dont une liste est fournie et remise à jour et les Commandeurs de régions dont certains sont sur le point de se rebeller et d'annexer une partie de vos légions. Vous aurez également la possibilité de financer vos troupes à ce moment. Enfin les deux phases les plus réjouissantes : la guerre civile et la guerre contre les autres pays. Ce wargame est assez complexe car il tente de se conformer le plus possible à la vérité historique. Donc, il est conseillé de lire attentivement la notice qui est d'ailleurs entièrement écrite en latin et gravée sur du marbre noir, le tout pesant environ 30 kilos. Non, je plaisante, elle est en anglais et ne possède que 17 pages en papier glacé. Côté graphismes c'est un peu comme pour tous les wargames : assez bon, mais la carte envahie de symboles n'est plus très lisible. Ne parlons même pas de la musique, elle n'existe pas. Enfin, si vous vous sentez capable de sauver l'Empire n'hésitez pas et n'oubliez pas cette devise : "Si vis pacem, para bellum". AMSTAR n°5 |
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Page créée en 280 millisecondes et consultée 2455 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |