| ★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ A320 (c) LORICIELS ★ |
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Récemment mis sur la sellette, à cause de son mode de pilotage - vous vous rappelez sans doute des dernières graves du personnel naviguant - l'A 320 a connu par la suite d'autres déboires. Certains pilotes s'amusent parfois à lui faire raser les pâquerettes d'un peu trop près sans se rendre compte que celles-ci cachaient la forêt...On ne peut pour autant pas imputer tous les problèmes à cet avion, merveille de la technologie européenne. Depuis le temps que je suis pilote d'avion, j'ai rarement connu avion plus sûr. même lorsque j'étais pilote au Viêtnam. Enfin quand je dis pilote, c'est plutôt de pilote d'hélicoptère que je devrais parler. Je fonçais sur mon Thunder Blade, crachant le feu et la mort. Après la guerre, il a fallu que je me recycle, alors, j'ai passé mon brevet de pilote de ligne et je suis rentré à Loriciair. Ici, le boulot n'est pas trop dur, les vols sont toujours à destination de New York et la cargaison est toujours la même, des hommes d'affaires pressés, qui ne supportent pas le moindre retard.
ROISSY, TOUT LE Je rentre ma petite Jaguar dans le garage réservé aux pilotes et me dirige vers l'ascenseur. Un petit tour par le bureau de la compagnie me permet de connaître le numéro de mon vol et mon code d'accès à la salle privée. Les conditions de sécurité sont draconiennes ; pas question de laisser n'importe qui pénétrer dans l'aéroport. Bon, direction la salle météo. Inutile de prendre des risques supplémentaires, un vol n'est pas toujours une partie de plaisir, surtout lorsque l'on a la responsabilité de quelques centaines de passagers. Ma foi, tout à l'air OK. D'un pas allègre mais néanmoins tranquille, je fais un petit tour au restaurant pour y récupérer mon portefeuille et confirmer mon rendez-vous avec Lili, la serveuse. Sur une table j'aperçois un drôle de message. NEXT STOP NEW YORK Ah, nous voilà enfin dans la partie qui me concerne le plus, le simulateur de vol. Après un décollage gaz à fond, je rentre le train d'atterrissage, stabilise mon altitude et passe en pilote automatique pour pouvoir recevoir le message de la lourde contrôle. J'allume la radio, passe sur la fréquence d'appel. Le contrôleur me donne Tordre de changer de cap et de prendre de l'altitude dans les plus brefs délais, sous peine de collision avec un engin volant, peut-être un Thunder Blade.
UN CAP OU UNE PENINSULE Il n'est pas facile de tenir un cap tout seul. Mais quand il faut à la fois surveiller le cap et l'altitude, c'est carrément la galère. Heureusement, on nous laisse une petite marge d'erreur. C'est à ce moment que le pirate décide d'entrer en action. Encore un ignoble individu. J'ai déjà vu cette tête quelque part... Bon sang, mais c'est mon ancien lieutenant. Là va commencer une des histoires les plus horribles de votre carrière, â vous d'en faire une heure de gloire ou de cauchemar. Réussirez-vous à tirer les passagers des griffes des pirates et à être secouru ? Cela ne dépend que de vous. Loriciels nous fournit ici un jeu d'aventures pas mal et, surtout, rapide. Pas de sauvegarde, ce qui pose certains problèmes, lorsque pour la dixième fois vous recommencez à cause d'une banale erreur de pilotage ou parce qu'un coup de téléphone vous a brusquement dérangé. Tous les graphismes sont des images digitalisées, sauf la partie simulateur, qui n'est pas trop mal faite. Un jeu assez novateur ; mais j'émettrai cependant quelques réserves, à cause, entre autres, des accès disques à chaque changement d'image, qui ralentissent énormément le jeu et le rendent parfois franchement énervant. Lipfy Air Lines A 320 de LORICIELS A100% n°10 , p111 |
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Page créée en 415 millisecondes et consultée 3907 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
