Quel est l'état de la mémoire du CPC ? Quelles plages sont occupées, lesquelles sont libres ? En quarante-sept secondes chrono, vous le saurez. Ce programme en langage machine n'est pas relogeable mais il se niche de lui-même tout en haut de la mémoire. Seuls les trois premiers blocs sont analysés. Comme le quatrième contient l'écran (en l'occurence le scanner), il est inutile d'afficher son contenu qui serait toujours le même. Le scanner se lance par un anodin CALL &A4A6. Les pixels allumés représentent les codes non-nuls, donc l'occupation de la mémoire ; le reste est bien sûr vacant. Les adresses figurant de part et d'autre de la fenêtre sont des approximations calculées au plus près. Les pokes qui figurent en Rem permettent de modifier la couleur du fond, du cadre, du stylo et le numéro de l'octet de recherche. Les valeurs indiquées de part et d'autre du tiret sont évidemment des maxima et des minima.Ce scanner fait gagner un abonnement à Rodolphe Meyer. Micromag n°6 ★ AMSTRAD CPC ★ DOWNLOAD ★ |
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CPCrulez[Content Management System] v8.7-desktop/c Page créée en 000 millisecondes et consultée 824 foisL'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
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