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MAXAM (Microstrad)

MAXAM: Really friendly assembler (Computing with the Amstrad)

MAXAM (Amstrad Computer User)

MAXAM SOUS TOUTES LES FORMES L'assembleur Maxam est disponible sur cassette, sur disquette ou sur cartouche de mémoire morte (Eprom). Au choix. Arnor showing off their new Protext-compatible packages ProSpell and ProMerge at Manchester Amstrad Show '86 Depuis le Basic, on accède à l'assembleur Maxam par la commande |ASSEMBLE. Il transforme alors le code source écrit dans les lignes de Basic commençant par des apostrophes en code objet. Pour les débutants, c'est là une qualité essentielle. En plus de l'éditeur du Basic, Maxam possède le sien propre. On peut y écrire du Basic, une lettre ou un programme source. Très puissant et très facile d'emploi, pleine page, cet éditeur surprend agréablement. Il ressemble à l'éditeur Logo, en mieux. La définition de blocs permet la copie, le transfert, la suppression de parties du texte, mais aussi l'insertion de fichiers (en ASCII) depuis la disquette ou la cassette. La plus étonnante des commandes, MODIFY TEXT (ou MODIFY BLOCK), ajoute ou enlève des numéros de lignes au texte ainsi que des apostrophes. Elle prépare donc un programme lisible en Basic dans l'éditeur. À SON ACTIF : UN INTÉRESSANT ÉVENTAIL D'UTILITAIRES Les codes sources sont assemblés par la commande A. JUMP permet l'essai du code objet depuis l'éditeur. Il fera le bonheur de beaucoup d'amateurs de langage machine... Le format des textes sources est au standard Zilog : LABEL, INSTRUCTION, OPÉRANDES, COMMENTAIRES. Mais en Basic, les instructions peuvent être mises en ligne, séparées par deux points (:). En mode direct, il est possible d'assembler une partie routine : |ASSEMBLE:'LD A,"?" :JP &BB5A:RET Trouver les bogues dans un programme est aisé : l'introduction de pauses force l'arrêt de l'exécution et affiche l'état des registres. Parmi les pseudo instructions, GET et PUT effectuent le passage de paramètres entre Basic et Assembleur, IF, IFNOT, ELSE, ENDIF autorisent l'assemblage conditionnel, READ lit les programmes sources sur disquette ou cassette et les assemble. WRITE sauvegarde les fichiers binaires : si le nom a l'extension .COM, un fichier CP/M est créé (condition : ORG &100). Maxam possède un éventail d'utilitaires très intéressants. Le désassembleur est simple, mais il ne génère pas de code source. La commande LIST MEMORY permet de parcourir toute la mémoire (morte et vive) de l'Amstrad par sélection des mémoires. Elle est complétée par EDIT ME-MORY: vous pouvez changer directement le contenu de la mémoire en la visualisant sur l'écran. Plusieurs commandes de transfert ou de copie de blocs font de cet assembleur un outil très performant. Le chargement de Maxam peut se faire partiellement si vous désirez gagner de la place : éditeur de texte, assembleur seul ou les deux. La documentation, en anglais, n est pas a la hauteur de Maxam. Ce logiciel n'étant pas distribué en France, on ne peut pas espérer une traduction plus claire. Maxam ravira les utilisateurs du langage machine. Avec quelle facilité d'emploi ! MAXAM Assembleur-moniteur-éditeur Éditeur : Arnor Ltd (ce logiciel n'est pas distribué en France, il est vendu par correspondance ) Forme : Cassette, disquette ou Eprom (cartouche de mémoire enfichable dans la machine) Pour : CPC 464, 664 Prix publics : 19,95 £ la cassette ; 26,95 £ la disquette ; 39,95 £ l'Eprom. GEORGES CONVERS, Microstrad n°6, Juillet/aout 1986

CPCrulez[Content Management System] v8.7-desktop/c Page créée en 524 millisecondes et consultée 7456 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent  du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko.