| ★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ TOYOTA CELICA GT RALLY (c) GREMLIN GRAPHICS ★ |
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C'est la sueur au front et le casque sous le bras que le p'tit Chris a rendu son article sur la nouvelle simulation automobile de Gremlin. Juste le temps d'une petite vidange et il vous fera part de ses premières impressions.Ouais, alors euh... La machine est super bien. Surtout les autocollants qui sont dessus, quoi. Ils sont de toutes les formes et de toutes les couleurs. C'est vachement important ça, les formes et les couleurs, pour le développement de l'enfant. Quoi, c'est pas un soft éducatif ? Euh bah merde alors...
L'AVANT COURSE Assez déliré. Voyons un peu ce que nous propose ce soft. Tout d'abord avant la course vous devrez vous occuper de toutes les options. Un premier menu vous propose de jouer au joystick ou au clavier (touches Y H O P et Espace), de disposer d'une boîte de vitesse automatique ou manuelle (5 vitesse) et, option inédite et originale mais malheureusement sans intérêt, d'inverser les directions gauche et droite. Ils appellent ça la conduite inversée. On est content pour eux. Vos choix effectués, un deuxième menu vous demande si vous désirez concourir pour le championnat du monde des rallyes ou simplement vous entraîner. Le mode entraînement vous emmènera dans un des trois pays que vous devrez parcourir en participant au championnat, soit : l'Angleterre, le Mexique et la Finlande. Suivant les pays, le terrain sera humide, aride ou verglacé. Si c'est le mode Championnat que vous choisissez, vous aurez alors à entrer au clavier le nombre de joueurs participants, deux à quatre (vous jouerez les uns après les autres, bien sûr) et vous pourrez vous « préparer » un copilote. Je m'explique (attention, va falloir suivre) : le tracé de la route à laquelle vous devez participer s'inscrit sur l'écran. Les virages y sont indiqués par une ou plusieurs flèches, selon que le virage es! prononcé ou pas, par le copilote intégré. Mais celui-ci n'est pas parfait. Aussi pouvez-vous modifier les indications de parcours à votre convenance. Mais regardez les photos, vous comprendrez mieux.
DU METALUCA DANS LE MOTEUR Le moins que l'on puisse dire, c'est que la conduite est hard. Du moins au début. Un p'tit coup de volant à droite ou à gauche et vous êtes déjà rentré dans un des nombreux arbres ou cailloux qui bordent la route. Rageant. L'absence d'un compteur de vitesse (vous voyez juste si vous êtes en première, seconde, etc.) n'arrange pas les choses, même si ce n'est pas le défaut le plus important du jeu. Plus grave, le maniement de la voiture. Vos coups de volant, donnés dans une direction ou dans une autre, vous font toujours exagérément tourner, et c'est à grands à-coups de « je ne dirais pas combien de degrés mais en tout cas trop pour assurer une conduite convenable » que vous prendrez vos virages. Frustrant. Pour continuer dans le top 50 des plus beaux défauts, on trouve en bonne place l'absence de concurrents sur le terrain pendant le Championnat. Ah oui, vous voulez peut-être que je vous explique comment il se passe le Championnat ? Eh bien voilà : vous devez parcourir dix circuits différents dans chacun des trois pays (en tout cas, j'ai dû parcourir ce nombre en Angleterre avant de passer au Mexique).
Chaque fois que vous terminez une course, on vous indique votre temps et vous êtes classé par rapport aux dix autres concurrents. Quoi qu'on en dise, cela devient rapidement lassant, d'autant plus, et là c'est le truc qui fait que je casse ce soft (en douceur, remarquez), que vous n'avez pas la possibilité de sauvegarder votre partie. J'ai bien vérifié pour pas avoir l'air d'un con, mais on ne peut pas. Autrement dit, vous êtes obligé de vous taper tous les circuits du Championnat pour terminer le jeu. Là. c'est carrément chiant.
UNE NOTE OPTIMISTE ? Peut-être. D'abord l'animation de la route est assez bien faite et les creux et les bosses du terrain sont bien ressentis. Chris ment (comme les pneus) Chris , A100% n°36 , p12-13 |
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Page créée en 259 millisecondes et consultée 2714 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
