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Toute la terre est soumise à l'envahisseur extraterrestre ? Non, un être humain résiste toujours et encore à... Vous voyez ce que je veux dire. Vous venez d'être désigné d'office et sans supplément pour l'une des missions les plus périlleuses de votre vie. Pour tout vous dire, ce sera même la dernière...
Tout est calme dans les galeries remplies de gaz de la station Z 24, centre militaire, culturel et économique de l'ennemi. Tout est calme certes, mais votre cœur commence à battre une drôle de chamade. Eh ! camarade, il faudrait peut-être penser à changer ta barre d'oxy-gun. Bon sang, mais c'est bien sûr, patron ! Eh oui, c'est tout bête, mais il fallait y penser. Bon. je ne suis pas ici pour vous faire visiter les lieux, mais pour trouver un moyen de combattre 1 invasion qui guette notre pauvre planète. Et quand je dis guette, elle est en fait presque terminée, puisque en dehors de moi, et de vous peut-être, il ne reste plus grand monde à des CPC à la ronde (CPC voûtant dire bien entendu Cent pas courts). PLANIFICATION QUINQUENNALE — Camarade, t'as pas un plan ? VOYELLE OU CONSONNE — Tas pas entendu comme un bruit "'
THE COMPUTER SHOW Pour être show, c'est chaud. On m'avait pas prévenu que j'avais été sélectionné pour un jeu télévisé. J'espère que la caméra prend mon bon profil ! Enfin, est-ce bien raisonnable de me demander à moi de résoudre une anagrame, et en anglais par-dessus le marché ? Bon. alors je vais vous aider un tout petit peu, l'anglais n'a rien à voir là-dedans, les Anglais par contre... Non, ne me remerciez pas, il y a suffisamment de remerciements dans le générique à la fin de la notice. Ah oui, j'ai trouvé, bon me voilà donc en possession de deux cartes : une qui m'indique où je suis, la seconde me précisant où se trouvent les composants de la bombe. C'est un jeu d'enfant de les récupérer. Mais, c'est pas tout ça, j'ai encore du pain sur la planche. Il faut que je me lape ce petit circuit à chaque niveau. Je vous abandonne donc, le temps de régler cette petite affaire, et on se 1 retrouve dehors. DE L'AIR Ouf! enfin, je respire. Façon de parler, je suis enfermé dans le cockpit d'un avion et ce que je vois n'est pas très réjouissant. L'ennemi a des forces dans tous les coins. Aussi bien dans les airs que sur terre. Je profite de l'effet de surprise pour attaquer une escadrille de dos. Courageux certes, mais pas fou. J'envoie trois avions au tapis. Une deuxième escadrille passe, et rebelote. Suivant le vieux proverbe, j'attendais la troisième, mais contrairement aux précédentes, elle m'arrive droit dessus et en face ; j'ai beau faire feu à tout-va,un des avions me percute et je descends en flamme. Allons, séchez ces larmes. J'ai la peau dure. J'ouvre mon parachute et je me retrouve dans une Jeep armée d'un petit canon pas mal du tout, quoique dune cadence de tir un peu insuffisante. Mais fidèle à ma devise je fonce en avant. Sur ma route je croise des chars et des hélicoptères ; je devrais plutôt dire des débris fumants, car c'est tout ce qu'il en reste quand je les croise. Mais ne croyez pas pour autant que je passe indemne ces épreuves. Les hélicoptères sont, à cet égard, les plus dangereux. Je viens de me faire envoyer en l'air dans une belle gerbe de feu ; un peu contusionné, mais en vie, je retrouve une Jeep et l'aventure continue. Mais je n'aurai pas autant de chance la prochaine fois.
SIX PIEDS SOUS TERRE Arrivé devant le repaire de cet ignoble Gog (et je n'invente rien), je me retrouve dans un dédale, mais cette fois-ci vertical, il faut prendre des ascenseurs pour descendre au plus profond des catacombes et affronter Gog et sa chasse. Ici on vente Gog à tous les étages. Mais ça ne se passera pas comme ça, moi vivant, on n'entendra plus cet horrible nom à faire rire les vespasiennes. Je crois bien qu'ils ont compris le sens de ma démarche. puisqu'ils essayent tous de me faire la peau. Parviendrai-je à résoudre cette nouvelle mission ? Vous le saurez si un jour vous voyez un nouveau soft sous-titré Green Béret III. puisque celui-là n'est que le numéro deux. VINDICATOR de IMAGINE Test de Lipfy , A100% n°5, p27 |
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Page créée en 279 millisecondes et consultée 8414 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |