★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ THE RUNNING MAN (c) GRANDSLAM ★ |
A100% |
Après Double Détente, Running Man est le second jeu en moins de deux mois, qui met en scène ce cher Arnie Schwarzenegger. Alors, aura-t-on droit à une adaptation fantastique comme celle de Robocop ou à une chose plus qu'horrible comme on le faisait il y a encore un an ?I'M RUNNING FREE Comme la chanson d'un de mes groupes de hard favori, le jeu commence par une intro on ne peut plus remarquée, qui est presque aussi mignonne que celle que l'on pouvait voir à 1 Expo. C'est après que les choses se gâtent ! On voit, après un chargement extrêmement long (même sur la version D7), un menu nous proposant, tenez-vous bien, UNE OPTION ; c'est merveilleux, n'est-ce-pas ? Après avoir choisi mon option "IT'S SHOWS TIME ", comme le dît le présentateur (ça, je l'ai vu et, bien sûr, entendu dans le film). Le carnage commence à l'instant où j'entre dans la première arène. Un chien, qui sort de je ne sais où, m'attaque pour faire baisser dangereuse; ment mon niveau d'énergie, Je lui envoie un superbe coup de pied, qui le met directement au tapis. Malheureusement pour moi. son maître ne tarde pas à arriver et me frappe à coups de crosse et de palet de hockey.
C'EST PAS TOI QUI M'A ATTRAPE Eh non, c'est pas lui qui m"a fait la peau, mais le vilain Fox-Fire l'Homme volant - qui n'est autre que mon dernier adversaire. Cet e... se bat à coups de lance-flammes, mais sa force réside surtout dans le fait qu'il puisse voler ; cela lui permet d'éviter la plupart des coups portés par ce cher Arnie. Mais avant d'arriver à ce renard, il faut d'abord passer le hoc- COURAGE FUYONS ! Running Man n'est pas un mauvais jeu, il est tout simplement banal. Les ceusses qui ont vu le film risque d'être fortement déçus par cette très médiocre adaptation. Les graphismes, bien que colorés, n'exploitent pas assez les capacités du CPC en la matière. Ce sont à coup sûr, les graphismes 16 bits (paix à leur âme) qui ont été transférés sans aucune modification. L'animation n'est pas extraordinaire, bien que convenable. Ajoutons à cela qu'il n'est pas toujours facile de sauter sur les échafaudages pour échapper au chasseur et au chien. La musique, elle, est tout à fait remarquable (n'est-ce-pas, Régis ?). L'intro, bien que bonne et très mignonne, aurait, tout comme le reste du jeu, pu être largement améliorée. L'idée dun level permettant de gagner de l'énergie était vraiment la bienvenue, ce level consiste à remettre, dans un ordre donné, des signes plus qu'étranges. Running Man, malgré tous ses défauts, est un jeu sur lequel on peut s'attarder un court instant, mais n'est pas un jeu que je ne pense pas le voir dans un quelconque classement honorifique. RUNNING MAN de GRANDSLAM Jipy , A100% n°20 |
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Page créée en 283 millisecondes et consultée 3068 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |