★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ SPHAIRA: LE ROYAUME DES ATLANTES (c) UBI SOFT ★ |
A100% | AMSTAR |
Il y a des années de cela, je m'endormais en écoutant les histoires et légendes que me narrait mon arrière-grand-père. Je me souviens, en particulier, de celle qui se rapportait au peuple de l'Atlantide. Depuis j'imagine que, quelque part au fond d'un océan, vit un peuple avec une civilisation bien avancée... Tout faux. Eh oui, mon bon ami, j'ai tout faux. Car j'apprends que non seulement le peuple de l'Atlantide n'est pas une légende, mais qu'en plus, les Atlantes se terrent (si j'ose dire) sous terre, quelque part dans une région reculée du Pérou. Et moi, grand archéologue confirmé, au péril de ma vie, non seulement je vous prouverai la véracité de mes dires, mais en plus je sauverai ce peuple, oublié de tous, d'une destruction certaine. Je me rendis donc au Pérou et après de longues recherches, j'y découvris une grotte, inconnue de tous. ET PUIS. TU SPHAIRAS Je vous fais un aveu, j'ai failli abandonner ce jeu dès le début car je me trouvais dans des grottes à n'en plus finir. Ma boussole qui déco... tout le temps, toutes les trente secondes, je maudissais les programmeurs de ce jeu. Quand, soudain, une idée me traversa la tête (je vous conseille de bien la noter et d'en tenir compte jusqu'à la fin du jeu) : et si je faisais un plan pour comprendre le principe de ce labyrinthe dans lequel je suis ? Hmmmm ? Aussitôt dit, aussitôt fait. Un bout de papier et un crayon rouge à la main, je notais les directions possibles indiquées par la boussole et l'endroit dans lequel j'atterrissais. Je vous épargne tous les détails, sachez simplement que, pour sortir des grottes, il suffit d'aller au Nord, puis à l'Ouest, ensuite à l'Est et pour finir au Sud (mais alors, je suis reviendu sur mes pas ? Meuh non, c'est parce que c'était un piège. Quoi, déjà, dès la première salle ?). Et paf, vous voilà dehors sur les plateaux. Merci qui ? Merci moi. Pour le reste, mon vieux, tu Sphairas (NDSepth : si on continue à le laisser Sphaire ses jeux de mots, y va plus s'arrêter, le p'tit Poum. Il Sphaire plus). Ah, un point important : le graphisme du jeu. Honnêtement, j'aurais bien voulu sauter ce paragraphe. Je sais que les dessins d'un jeu d'aventures demandent un taf inimaginable. Alors, du bout des lèvres, je dirai que l'on pouvait faire un peu mieux. Les couleurs et surtout, les trames ne sont pas trop bien utilisées. MOURU, MOI ? La mort dans ce jeu m'a beaucoup plu. L'animation du sabre tournant sur lui-même et se rapprochant de l'écran est réussie. Petit détail, une étoile filante passe sur ma tombe (j'adore). Poum en Asie (le de fous) , A100 n°17 |
|
Page créée en 442 millisecondes et consultée 5034 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |