| ★ AMSTRAD CPC ★ GAMESLIST ★ RAINBOW ISLANDS (c) OCEAN ★ |
| JOYSTICK | Amstrad Action | AMSTAR&CPC | GEN4 | GENERATION 4 n°13 |
Enfin des îles sur le vaste Ocean! Celles-ci sont toutes jolies, pleines de couleurs, mais bien dangereuses pour le petit Bob.Les anciens de la micro retrouveront avec plaisir Bubble Bobble, un gamin qui avait fait un tabac sur CPC à sa sortie. Les nouveaux venus ne pourront s'empêcher de comparer Rainbow Islands à New Zealand Story. Le style des graphismes est en effet très voisin et la progression des personnages à peu près .semblable. On retrouve même les passages secrets bien planqués. Ceci dit, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit: Rainbow Islands n'est pas une resucée de New Zealand Story.
Le but du soft est tout simple: il faut progresser parmi les sept îles de l'Archipel de l'Arc-en-Ciel. Chacune est peuplée d'un type de créature ou d'ennemi. Des insectes pour la première, des chars et des hélicoptères ensuite, puis des monstres chauve souris, loup-garous .. .), etc ... Une île contient des jouets malfaisants, une autre des robots et des dragons. Le nom de l'île pleine de balles et de sphères, Doh, est un clin d'œil à Arkanoïd. Les deux softs sont en effet des créations de Taito, grand concepteur de jeu d'arcade devant l'Eternel (du moins pour autant qu'il ait des vies infinies). L'arme de Bob, ce sont des arcs en-ciel qu'il peut utiliser pour se hisser vers le haut de l'écran ou pour neutraliser ses innombrables ennemis. Parfois, un arc-en-ciel dissimule un objet. Le petit Bob peur escalader des arcs-en-ciel empilés, glisser dessus et les casser dans une gerbe de couleurs. Ils servent aussi de bouclier et de prison et lorsque Bob parvient en haut d"un niveau (chaque île en compte plusieurs) l'assistance (où ça ???) lance des chapeaux en l'air. Souliers magiques et potions aideront à progresser plus vite encore.
De prime abord, Rainbow Islands ressemble à un soft pour très jeunes joueurs. Le dessin des sprites, tout droit sorti d'un livre d'images, y est sûrement pour quelque chose. Bref, on dirait le genre de cadeau qu'on offre au petit frère pour qu'il puisse lui aussi tâter du CPC. Après, on regrette amèrement car le gamin ne décolle plus du clavier. C'est qu'il est prenant, Rainbow Islands, même pour un adulte! Et pas facile contrairement aux apparences. Car, plus on s'élève, plus dure sera la chute. A moins que ce ne soit l'eau qui monte, qui monte, qui monte. Et ce pauvre Bob qui ne sait pas nager! Test par BÔ TGV , Joystick n°4 Avril 90, p118 |
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Page créée en 092 millisecondes et consultée 8711 fois L'Amstrad CPC est une machine 8 bits à base d'un Z80 à 4MHz. Le premier de la gamme fut le CPC 464 en 1984, équipé d'un lecteur de cassettes intégré il se plaçait en concurrent du Commodore C64 beaucoup plus compliqué à utiliser et plus cher. Ce fut un réel succès et sorti cette même années le CPC 664 équipé d'un lecteur de disquettes trois pouces intégré. Sa vie fut de courte durée puisqu'en 1985 il fut remplacé par le CPC 6128 qui était plus compact, plus soigné et surtout qui avait 128Ko de RAM au lieu de 64Ko. |
